Une bulle au cerveau :
vendredi matin, dans l’attente de mon rendez-vous avec Geneviève
(voir
27 janvier), je repense soudain à ce périple européen que je
souhaiterais faire en septembre.
Je m’approche de la fausse-bibliothèque-de-notaire
et en extirpe le bouquin sur l’Espagne, prêté par l’Amie Lib…
Et le « guide du parfait
voyageur »…
Puis les 2 revues sur le Portugal…
Pour finir par aller quérir le
cahier rose contenant les premiers jets de ce que pourraient devenir ce voyage. Je
m’installe confortablement et débute la lecture…
Gros-gros
projet. Tout à coup, je doute. Je n’arrive pas à me visualiser,
sac à dos, parcourant en marchant, les campagnes irlandaises et/ou écossaises et/ou
néerlandaises et/ou allemandes et/ou françaises et/ou espagnoles et/ou portugaises.
L’anxiété s’installe…
Un flash : et si je
remettais le voyage en question? Ai-je vraiment besoin (allusion
à McSween) … de
tout ce stress préparatoire et exécutoire?... Mais en même Temps, je veux le
faire alors que la santé est au rendez-vous et que je suis en pleine possession
de mes moyens. Alors…
Ah
oui… Y’a aussi ce projet de marche en juin qui me taraude. Pis celui de
déménager dans les Basses Laurentides. Et celui d’aller passer une partie de l’été
sur les berges du Fleuve… Qu’est-ce qui peut bien se passer entre mes deux
oreilles? Énigme…
Faire
des choix. Les bons. Sans hâte. De façon réfléchie. Mais justement. J’ai l’impression
de ne plus y arriver. À être réfléchie.
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