Beijing, Chine, un certain jour de mai… « La chaleur est torride. Sébastien nous guide patiemment vers un édifice d’où dévale une longue montée cimentée… Aucune fleur, sauf Celles habillées de rose qui nous accueillent à l’entrée… On nous conduit dans une salle remplie de zénitude, et avec gratitude, on se tire « une bûche »… Débute la cérémonie du thé : placé au-dessus d’un plateau de bois treillissé, on verse une eau très chaude sur la théière pour la réchauffer, puis on y dépose des feuilles de thé, qu’on prend la peine de rincer pour les dépoussiérer et réveiller toute l’intensité de leur saveur… On laisse quelques minutes à peine pour l’infusion… Servi dans un minuscule verre, nous sapons le thé en trois gorgées : pour la prospérité, le bonheur et, l’amour?… Hum! Pas certaine! Je n’arrive pas à me souvenir et mes recherches n’ont donné que dalle. M’enfin… J’achète après la dégustation, une tasse avec un imprimé de dragon se transformant en Grande Muraille lorsque remp...
« Partir c’est quitter son cocon, ouvrir ses ailes et s’envoler. C’est s’apercevoir qu’on n’est pas les seuls sur la planète, qu’on ne sait pas tout, comme on le pensait. On devient plus humble, plus tolérant, un peu plus intelligent. » P. Fillit