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Messages

Affichage des messages du décembre, 2014

Bye, bye 2014!!

Il s’en est passé des choses en 2014. Et je ne fais pas allusion ici à toutes les tragédies, grands procès ou quelconque Commission ayant fait la manchette des nouvelles télévisées.   Je parle de moi, de mes réalisations. Des visites de maisons dans les Laurentides en janvier, à certains quartiers de Montréal en février; pour revenir en avril aux Laurentides. Vingt maisons et St-Henri, le Plateau, le Mile End, Griffinton et le Vieux Montréal plus tard, je suis toujours une sans abri en règle. Trotte toujours dans ma tête le « Tout vient à point à qui sait attendre. » J’espère que 2015 me dira si j’avais raison de patienter… En mai, dans le cadre de mon travail, j’ai pu visiter Halifax ainsi que le petit village de Peggy’s Cove. Que de bons moments passés avec Collègue Das et les jeunes modèles de saines habitudes de vie, partis à l’aventure pour courir des 5, 10 et 21 km.  Moments magiques… Deux mille quatorze m’a aussi entraînée en juillet, à Fulbeck, Anglet

Y’a pas de justice!

Leçon d’anatomie 101: entre la tête et les pieds, se trouve un amalgame de tissus cellulaires, osseux et musculaires dénommé le corps. Chez certains êtres humains, cet assemblage fonctionne très bien malgré le Temps qui passe. Pour d’autres ( comme moi ), on peut commencer à ressentir tranquillement le poids des années. Oh! Bien sûr! Je ne m’y attarde pas ni ne lui prête vraiment attention mais…   Parfois…   Quand me vient l’idée, saugrenue ou non, d’agir comme à vingt ans, la connexion entre la pensée et la mécanique corporelle ne s’enclenche pas toujours.  Ce qui donne… Hier. Je revenais de ma troisième marche dans le frette Abitibien ( qui n’a d’ailleurs rien à envier, je vous le jure, au frette Nunavimiuq ). J’avais atteint mon avenue quand je réalisai que devant moi se dressait, une assez haute, disons même, une assez bonne congère. Dans ma tête, le raisonnement analytique conclut très rapidement qu’il serait plus facile de passer par-dessus que d’aller

Réflexion faite au frette…

Il suffisait d’un -37 degrés en début de journée pour que je reprenne du poil de la bête… Levée tôt, il était à peine huit heures trente que je m’amusais à courir derrière Méo, le long de la Rue Principale.  Après l’avoir ramené au p’tit appart, j’étais aussitôt repartie vers l’animalerie du coin, acheter l’obligatoire licence faisant de mon animal favori pour l’année à venir,   un pur résident Amossois.  Un peu plus loin, j’entrai au bureau de poste y ramasser le formulaire nécessaire pour le renouvellement de mon passeport. Juste au cas où me prendrait l’idée de revenir de mon road trip estival par les États-Unis. Valait mieux être en règle. Je ne perdis pas de Temps et j’allai trouver chez Jean Coutu, l’Amie qui accepta bien gentiment de me photographier avec mon air le plus bête,   celui requis pour ce genre de document.  Motivée et dégourdie par le frette , je poussai la marche jusqu’à la Maison de la culture, là où se trouve la bibliothèque. J’avais déci

Là où nous mène la Vie

« … Tendre So n’était pas chez-elle. Ce matin, c’était l’objectif de notre marche, à Méo et à moi. Depuis que je suis revenue, les jours se suivent et se ressemblent. J’essaie, tant bien que mal, d’intégrer au quotidien des improvisations « contrôlées ». Parfois le Temps s’apparente à quand j’étais au nord du 55 ième parallèle. J’ai l’étrange impression d’être en état de stagnation … »    Ça me pousse à m’interroger sur ce que je veux faire. Mes projets. À plus ou moins long terme. Où je veux aller. Comment. Quand. Pour combien de temps.  Réflexions… « … Nous avons marché avec le soleil. Il faisait frais, mais pas froid. Juste bien. J’ai salué des gens au hasard de nos pas. Ils étaient tous affairés à dégager leur entrée de cour de cette poudreuse s’étant déposée hier soir. Tous... autant qu’ils étaient à avoir mis le nez dehors. Un pesant s’est introduit en moi en même temps que j’ai glissé les pieds dans le p’tit appart. Comme si soudain, je le sentais trop pe