Je voulais me rappeler ce nom. Me rappeler de cet homme. Ce géologue qui était parti travailler au Burkina Faso pour une entreprise minière.
En Abitibi, ça nous interpelle ça, les mines.
Je ne répéterai pas l’article
de La Presse. Juste que… quand j’ai lu l’entrefilet sur le minuscule écran du
cellulaire ce matin-là, plus fort que moi, j’ai lancé un…
SHIT!!!!!...
Les nouvelles de la veille
avaient fait en sorte que je m’inquiète du sort de l’Homme. Tout comme de celui
de la jeune Sherbrookoise, Édith Blais.
Triste.
Ouagadougou… La
première fois que j’ai entendu ce nom, c’était de la bouche d’un collègue à
Kuujjuaq. J’en avais mis du Temps avant de prononcer convenablement le nom de la
capitale du Burkina Faso.
Presque
autant qu’il m’en avait pris à bien comprendre ce collègue quand il s’exprimait.
Vous savez… l’accent…
C’est lors de ma période de
travail à Kuujjuaq que j’ai aussi entendu parler pour la première fois de
Bamako, au Mali. Cette fois, c’était l’Amie Sue qui m’avait partagé les mois
passés là-bas, à travailler pour une organisation humanitaire.
Quand j’ai appris l’existence
d’Agadir, c’est par ma voisine de palier, dans un bout de Vie passée. Elle m’avait
donné le goût d’en faire la ville à visiter sur le continent africain.
Maintenant…
je ne suis plus sûre de rien…
J’ai appris comme ça, au fil
du Temps, des bouts de l’Afrique. Le Sénégal, l’Afrique du Sud. Cet immense
continent.
Maintenant…
je ne suis plus sûre de rien…
Commentaires
Bon dimanche.