Non… je ne suis pas empêtrée dans les dédales de l’émission « La Voix »… Ni impliquée dans une quelconque lutte. J’avais juste lancé ce titre, en plein nombril de semaine, vivant une panne d’inspiration. Vous savez, celle qui fuit à la moindre brise. Celle qui s’éteint au moindre souffle mal ressenti. J’en avais été la malheureuse victime, partagée que j’étais, entre ce TOC d’appliquer le « Nulla dies sine linea* » et le fait de passer « Go » sans culpabilité ni réclamer mon $200… Divaguation … Je me sentais en manque de culturel. Sans plus rien à me mettre sous les doigts. Je devais y remédier. C’est arrivé plus ou moins planifié. À l’agenda, pour ce dernier vendredi du mois, apparaissait un « Tire le coyote » suivi d’un point d’interrogation. Évidemment, je n’avais point de billet. Pendant le lunch partagé avec ma Meilleure Amie et Jeune Sœur Chérie, la discussion porta sur l’intérêt de ce spectacle. La planification fut rapidement établie : une longue
« Partir c’est quitter son cocon, ouvrir ses ailes et s’envoler. C’est s’apercevoir qu’on n’est pas les seuls sur la planète, qu’on ne sait pas tout, comme on le pensait. On devient plus humble, plus tolérant, un peu plus intelligent. » P. Fillit