Février, mars, avril : une période abrutissante au bureau. C’est la fin de l’année financière avec sa ribambelle d’étapes passant de la reddition de comptes à l’équilibre budgétaire, jusqu’aux achats de dernière minute… Parfois j’ai l’impression de gérer une petite entreprise… captive à l’intérieur d’une grosse! Ça me demande de la concentration, beaucoup de concentration… Malheureusement, l’environnement physique se prête plus ou moins à cela. Nous travaillons à plusieurs dans le même cubicule, et tous sont ouverts « au grand public ». J’ai eu beau tout essayer : les bouchons dans les oreilles enfoncés jusque dans le gorgoton ; les écouteurs avec mon répertoire i-pod « musique pour rêver » ( c’est assez mollo …) ou encore rien du tout, des p’tits bouts… Malgré tout... ça reste difficile. Depuis le début de la semaine, que je m’affaire à relancer mes collaborateurs, que je cours après les factures, que je calcule… Hier après-midi, alors que je me trouvais dans u
« Partir c’est quitter son cocon, ouvrir ses ailes et s’envoler. C’est s’apercevoir qu’on n’est pas les seuls sur la planète, qu’on ne sait pas tout, comme on le pensait. On devient plus humble, plus tolérant, un peu plus intelligent. » P. Fillit