Passer au contenu principal

Messages

Affichage des messages portant l'étiquette Moi je viens de l'Abitibi...

Quand la peur nous fait avancer

J’avais tout calculé : l’heure du départ du bus; moins le 30 minutes d’avance requis; moins le 15 minutes de marche de chez Cousine Cad ( plus 15 au-cas-où… ); moins le 42 minutes de St-Jos à St-Jé ( plus 30 au-cas-où… ) …    J’avais mis l’alarme à 5am, pour avoir le Temps de petit-déjeuner et de boire un incontournable latté. 6h15 : j’étais fin prête – 6h21 : je chargeais Madge de me conduire chez Cousine Cad – 7h20 : j’étais assise à l’une des petites tables rondes en bois, bien ancrées dans le pavé de la Gare Intermodale de St-Jérôme!!! Me restait une heure trente à tuer avant le départ du bus. AHHHH… CETTE FAMEUSE PEUR D’ÊTRE EN RETARD!!!!...         Cette fameuse peur de ne pas avoir assez prévu l’imprévisible! Cette fameuse peur de devoir appliquer l’inexistant Plan B! L’histoire de ma Vie!... Arrive(rais)-t-(je)-on un jour à se(me) défaire de ce côté presque maladif de la peur d’être en retard? Dites-le-moi! Point positif de ce TOC : à l’heure où j’écrivai

Compte à rebours

10 moutons; 9… moineaux… J’aurais dû débuter le décompte hier, mais comme «  vaut mieux tard que jamais  », voilà donc ce qui reste de jours avant le grand déménagement. La liste des trucs « à faire » d’ici là est couchée sur papier. Restera à suivre, le Temps.    Profitant d’une soirée tranquille, je me suis posée hier devant l’émission «  Tout le monde en parle   », la dernière de cette 15 ième saison. Pour une fois, j’ai délaissé la musique pour me concentrer sur l’actualité, culturelle et autres. Quelle belle brochette d’invités! Ça débuté avec mon Amant Imaginaire, Christian Bégin. Pas mêlant lui, il réussit à faire monter mon taux de phéromones chaque fois que je le vois. J’aimerais bien «  le sentir  » un de ces quatre! ;-) Je sais, je sais… Je connais les limites de la visualisation pour l’avoir maintes fois expérimentée dans ce champ d’activité mais… je demeure une spécialiste en rêves insondables… Alors ... M. Bégin était en compagnie d’Antonin Mousseau-Ri

Le chant des oies

J’avais entrouvert la fenêtre de la chambre, sur la nuitée amossoise. J’entendais de lointains bruits de Vie. Des passages sur route fréquentée. Je me demandais si le changement d’air ne créerait pas diversion involontaire et non souhaitable de mon sommeil. Il n’en fut rien.    L’air frais s’infiltra lentement dans l’espace où je reposais. La journée avait été bonne : un repas pris avec ma Meilleure Amie; l’étalage et le triage de ce qui composerait le matériel pseudo essentiel pour la prochaine randonnée; une longue marche vers St-Mathieu d’Harricana avec l’Amie Lib pour aller retrouver Petit Escape qui se payait l’habituelle résurrection printanière.  J’avais l’impression, comme l’ourse qui sort de sa léthargie au printemps, de respirer enfin autre chose que l’hiver. J’ai plongé au pays des rêves, tête première. J’y fus ballotée au gré de scénarios invraisemblables, ne laissant aucun souvenir au réveil.  As usual … Sur les petites heures du matin, les yeux e