J’avais reçu de la grande visite : mon Grand et sa Belle! Ils s’étaient annoncés à brûle-pourpoint, dans la semaine séparant la Fête Nationale (…) et la Fête Nationale (...) 😉 Cela avait rempli mon cœur d’un indicible bonheur et j’avais pris plaisir à les accueillir dans mon nouveau chez-moi, récemment réintégré. Cela avait augmenté cette inexplicable sensation d’être en vacances. Comme si « l’obligation » de m’entraîner à la marche n’existait plus. Comme s’il ne restait plus que le plaisir impromptu de le faire. J’aimais le feeling … Alors que j’avais soulevé en cours de conversation, l’idée d’installer une pseudo-Adirondack sur le petit balcon attenant à la chambre principale, voilà que j’avais vu mon Grand s’emparer de l’une d’elles sans dire un mot. Aussitôt dit, aussitôt fait : j’aurais maintenant une place de choix pour siroter le café matinal tout en prenant le pouls du village. Déformation ex-professionnelle! Ce que je fis...
« Partir c’est quitter son cocon, ouvrir ses ailes et s’envoler. C’est s’apercevoir qu’on n’est pas les seuls sur la planète, qu’on ne sait pas tout, comme on le pensait. On devient plus humble, plus tolérant, un peu plus intelligent. » P. Fillit