… je ne me suis pas épargnée, toute ma vie j’ai raconté, comme si ça ne se voyait pas, que la pudeur en moi, n’existait pas. Ce soir, au rythme de mes fantaisies, j’vous ai fait partager ma vie, en rêve ou en réalité, ça n’en demeure pas moins la vérité… … Mais moi, je ne suis qu’une chanson, je ris je pleure à la moindre émotion, avec mes larmes ou mon rire dans les yeux, j’vous ai fait l’amour de mon mieux. Mais moi, je ne suis qu’une chanson, ni plus ni moins, qu’un élan de passion, appelez-moi, marchande d’illusions, je donne l’amour, comme on donne la raison… Ce soir, je n’ai rien voulu vous cacher, pas un secret j’ai su garder, comme si ça ne se voyait pas, que j’avais besoin de parler de moi. Ce soir, je ne me suis pas retenue, je me suis montrée, presque nue, sur une scène trop éclairée, j’aurais du mal à me sauver de moi… » Paroles : Diane Juster Deux ans d...