Tôt le matin, Gros Méo et moi arpentons les ruelles de la petite ville d’Amos. Premièrement pour soulager nos besoins (!). Gros Méo, vous l’aurez deviné, est un chien. Alors… En ce qui me concerne, je vise à soulager le besoin d’avoir à ramasser « le besoin » de Gros Méo en pleine rue. Vous comprenez? Un peu incommodante cette vie citadine. Pour cela en tout cas. Grosse différence aussi de garder un chien à l’intérieur plutôt qu’à l’extérieur. Surtout l’automne. Surtout un Vieux Gros Méo à poils longs, de type vadrouille-vadrouillant-le-dehors-pour-mieux-me-faire-vadrouiller-le-dedans... Adaptation à un nouveau milieu… Ça prend tout son sens… Mais je ne déblatèrerai pas sur toute une page 8 ½ X 11 sur ces incontournables réalités de propriétaire de chien. Je veux plutôt vous écrire un peu de ce que j’entends, de ce que je vois, pendant ces marches matinales. Intéressant! « … Comme dans cette maison sur la 4 ième Avenue où des notes jouées sur un orgue s
« Partir c’est quitter son cocon, ouvrir ses ailes et s’envoler. C’est s’apercevoir qu’on n’est pas les seuls sur la planète, qu’on ne sait pas tout, comme on le pensait. On devient plus humble, plus tolérant, un peu plus intelligent. » P. Fillit