Mystique
réflexion ce matin. Sur l’art de vivre les adieux ou les façons de.
Évidence : toutes revêtent voiles d’émotions nimbés de couleurs
différentes. Ainsi…
Il y a les séparations
déchirantes, estampillées par des sentiments dénués de réciprocité, que l’on vit
en silence, cloîtré dans un mutisme équivoque…
Il y a les séparations qui s’étiolent
sur du long terme, les inévitables dont on ignore tout du quand et du comment…
Il y a évidemment, les
subites, les inattendues. Celles conséquentes des hasards de la Vie… Celles qui
soustraient à jamais de nos yeux, les Amis…
Il y a les séparations avec
lesquelles on cohabite longtemps. Presque à Vie. Celles qu’on hésite à
affronter. Celles que l’on ne veut oublier… Qu’on ne peut…
Finalement, il y a les séparations
rassurantes, celles qu’on laisse aller librement, au détour d’une dernière page
parce qu’on sait déjà, que ça ne s'arrêtera pas là…
Comme
ça que je me sens ce matin, refermant la quatrième de couverture du roman de
Claire Meilleur, « La tache de
naissance », publié sur Les Éditions de la Paix.
Une
auteure avec qui j’ai eu la chance de partager un week-end d’atelier
d’écriture en août
2016, sous les mots inspirés de Claude Lebrun.
Sa
plume soulève les miennes! Comme j’ai aimé ce roman, le retrouvant avec bonheur
dès que mon horaire-de-Vie-de-Retraitée m’en laissait l’occasion.
Et, comme j’ai
osé (!) la contacter via FB, j’attendrai maintenant impatiemment, la suite!
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