Passer au contenu principal

Par un beau samedi...



« … m’en allant promener, sur mon chemin, j’ai rencontré… La Motte. Village d’âmes-artistes. Gens qui se tiennent par les coudes pour laisser éclater leurs folies, qu’elles soient passagères ou non.
 
La Motte, village né d’un lac, d’une rivière. Gens de partout, de foi ou de peu, qui ont cru au potentiel bien vivant de leur lieu culte.


La Motte, les peintres, les ébénistes, les conteurs, les cultivateurs d’ail et de framboises. La Motte et son quai. La Motte et sa baie où se cachent deux fois par année, les grands oiseaux du Nord. Ceux qui migrent vers le sud. Ceux qui se cachent la face dans les champs pour se gaver des dernières miettes de l’été.

La Motte et ses 23 000 lumières dansantes, rythmiques, dispersées dans une seule cour. « À 5 km » que disait l’affiche. 5km du cœur du village. Impressionnant. Intéressant. 

La Motte et son originalité. La Motte et ses originaux. La « côte de La Motte » et ses orignaux…

La Motte, village hôte de mes enfants. Village qui cache des beautés. Village qui camoufle la bonté. Les échanges. L’entraide. L’altruisme.

La Motte, village d’âmes-artistes… village qui est venu à un cheveu de m’adopter!...»

Commentaires

Messages les plus consultés de ce blogue

La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier