Dix heures, le téléphone : c’est mon Amie Sue.
« Ça te tentes-tu, le chemin du Lac Stewart? Il fait super beau. »
« Beau, mais je ne suis pas certaine que ce soit chaud. On ouvrant la porte de l’entrée, l’air était drôlement froid. »
« Je vais regarder la météo, mon ordi est ouvert. » me dit-elle.
Quelques instants plus tard…
« Ouin, comme tu dis. C’est moins vingt-neuf… On prévoit moins quarante-et-un avec refroidissement éolien…»
« Ok! Il fait quand même très beau. Je vais m’habiller chaudement pis je descends te rejoindre vers 12:30-13:00. »
Passé midi, j’enfile pantalon « North Face » (qui n’attache plus à cause des dix livres que se sont logées dans mes chairs depuis l’hiver dernier), un polar, des bas (que je croyais chauds), tuque, cache-nez, gants, mitaines (oui, oui, les deux paires), manteau « Quartz Nature ». Mon appareil photo dans une poche, mon I-pod dans l’autre, lunettes sur le bout du nez, me voilà fin prête. Je sors et à peine dix minutes plus tard, je remonte mon capuchon et mon cache-nez J’ai déjà la joue droite qui picote. Je continue…
Arrivée chez l’Amie Sue vingt minutes plus tard, j’entre le temps de me réchauffer quelques instants. On reprend la route du Lac Stewart vers 13 :15. La randonnée durera une bonne heure et demie sans que l’on n’atteigne le lac, en partie à cause du froid. À un moment, entourées de chiots et de chiens adultes, j’en profitai pour les mitrailler avec mon appareil afin d’avoir souvenir de ces mignons aux robes si particulières.
C’était une magnifique journée d’hiver, fraîche, craquante et fumante, comme on les aime. Mais Ciel que nous étions bien à siroter notre café, confortablement installées et surtout bien au chaud, dans le douillet appartement de l’Amie Sue.
Ne manquait que vous, ma Bonne Fée et Amie J…
Photo : « On ne bouge plus… », Kuujjuaq, janvier 2012
« Ça te tentes-tu, le chemin du Lac Stewart? Il fait super beau. »
« Beau, mais je ne suis pas certaine que ce soit chaud. On ouvrant la porte de l’entrée, l’air était drôlement froid. »
« Je vais regarder la météo, mon ordi est ouvert. » me dit-elle.
Quelques instants plus tard…
« Ouin, comme tu dis. C’est moins vingt-neuf… On prévoit moins quarante-et-un avec refroidissement éolien…»
« Ok! Il fait quand même très beau. Je vais m’habiller chaudement pis je descends te rejoindre vers 12:30-13:00. »
Passé midi, j’enfile pantalon « North Face » (qui n’attache plus à cause des dix livres que se sont logées dans mes chairs depuis l’hiver dernier), un polar, des bas (que je croyais chauds), tuque, cache-nez, gants, mitaines (oui, oui, les deux paires), manteau « Quartz Nature ». Mon appareil photo dans une poche, mon I-pod dans l’autre, lunettes sur le bout du nez, me voilà fin prête. Je sors et à peine dix minutes plus tard, je remonte mon capuchon et mon cache-nez J’ai déjà la joue droite qui picote. Je continue…
Arrivée chez l’Amie Sue vingt minutes plus tard, j’entre le temps de me réchauffer quelques instants. On reprend la route du Lac Stewart vers 13 :15. La randonnée durera une bonne heure et demie sans que l’on n’atteigne le lac, en partie à cause du froid. À un moment, entourées de chiots et de chiens adultes, j’en profitai pour les mitrailler avec mon appareil afin d’avoir souvenir de ces mignons aux robes si particulières.
C’était une magnifique journée d’hiver, fraîche, craquante et fumante, comme on les aime. Mais Ciel que nous étions bien à siroter notre café, confortablement installées et surtout bien au chaud, dans le douillet appartement de l’Amie Sue.
Ne manquait que vous, ma Bonne Fée et Amie J…
Photo : « On ne bouge plus… », Kuujjuaq, janvier 2012
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