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Comme un croissant de lune

Il y a des choses dans la vie que l'on réalise à plein, d'autres que l'on réalise à moitié...

Des rêves qui se mutent en silence, des réalités qui nous explosent en plein visage...

Des matins qui nous éveillent à l'essentiel et des soirs qui nous ramènent, fatigués, à la réalité...

Des journées qui s'égrènent et qui finissent par passer...

Des semaines anticipées, et qui finissent...

Par passer...

Il y a des moments, où privilégiée, j'assiste à la vie,

Une vie Nordique, pleine de rencontres et d'amitiés,

Qu'il s'agit de cueillir même si ce n'est pas l'automne...

Semence semée, grandie... Récolte de ce que l'on a enfoui, tout au long de l'année...

Ouf! À cela j'aurais pu ajouter que ce que l'on voit parfois,

N'est qu'infime partie de ce qui est vraiment...

photo:"L'infime partie...", Kuujjuaq, 2012

Commentaires

Le factotum a dit…
Comme le titre reflète bien les sentiments qui vous ont inspirée pour écrire ce billet!
Vous me croirez si je vous dis que c'était voulu?...

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

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