Passer au contenu principal

Tatouer le cœur



« … Non je ne vous le montrerai pas. Indiscret...
 
Mais oui... Je vous annonce que pour mes 60 ans, j’ai décidé de m’offrir un tattoo.

Un cœur ouvert sur le monde. Sur la paix. Sur l’amour. Bien sûr. D’ailleurs…


Énigme… 

Si l’Abitibi se réchauffe suffisamment avec le Temps, il se pourrait qu’un jour vous l’aperceviez…


Sinon, il sera réservé aux Initiés…


Plate de même la Vie… Parfois! 😉 »


(Voici le titre, au singulier, qui donna le nom au troisième album de Jason Derulo sorti en septembre 2013. Comme à son habitude J.D nous offre ici un titre très lent et très profond où il explique que chacune de ses peines de cœur sont comme un tatouage sur sa peau, une marque indélébile. Comme la place sur sa peau se fait rare, il veut mettre fin à cette course et enfin trouver un équilibre sentimental avec cette fille, l’élu de son cœur. Enjoy!
Reproduction intégrale, source : https://www.lacoccinelle.net/882733.html; publié par Sully le 5 octobre 2013)


Who’s more desperate? You’re on your knees boo. But when you fuck up, I don’t leave you, I can’t leave you. Guess you’re permanent, can’t be removed. Each time my heart breaks, it’s like a new tattoo. Don’t need a new tattoo. One touch always makes it too hard to escape. Three strikes * I’m still yours, what am I waiting for?

I’m running out of room for your tattoos. How can I get over you, over you, when you’re all over me. So don’t tell me it’s cool that I’m tattooed. How can I get over you, over you when you’re all over me. Yeah, yeah…

Why do we stay when only fools would. I guess we’re both fools cause the sex is good. It’s way too good. Call us crazy, mis-understood, cause I can’t leave you and I know I should. People say I should. One touch always makes it too hard to escape.  Three strikes, I’m still yours, what am I waiting for?

Permanently trying to hide the scars we can’t remove. You’re drawn on me and I’m still drawn to you…

 
* La « Loi des trois coups » est une disposition législative en vigueur aux États-Unis permettant ou contraignant les juges de prononcer des peines de prison perpétuelle à l’encontre d’un prévenu condamné poru la troisième fois pour un délit ou/et un crime. Il se dit donc condamné à perpète de son cœur. Reproduction intégrale, source : : https://www.lacoccinelle.net/882733.html; publié par Sully le 5 octobre 2013

Commentaires

Le factotum a dit…
Ça fa-tu mal ? M'essemble un beau becyke.
Fitzsou a dit…
Ben non justement M. Le Factotum... ça ne fait pas mal... Paraît que tout dépend de l'endroit à tatouer...
Pour le "becyke"... c'est une excellente idée. Vous concernant!... ;-)

Messages les plus consultés de ce blogue

Acculée au pied d'un mur...

... Vendredi soir: je suis accroupie au bas de cette immense porte de plexiglas refermée sur les secrets d’années de vie d’un commerce devenu fantôme... ... J’ai le visage tourné vers ce soleil, à en gober jusqu’au dernier atome d’énergie qu’il peut me fournir en cette fin d’après-midi automnal... ... Suis en baisse... Heureusement, P’tit Bonheur et Méo se trouvent près de moi... Fidèles amis... Le « Nous vous donnerons une réponse, au plus tard la semaine prochaine. » est maintenant chose du passé... et comme le « temps n’est rien »... alors, ne me reste plus qu’à attendre « LA » bonne semaine prochaine!!!... Mode attente, une fois de plus... Est-ce que le simple fait d’avoir passé l’entrevue téléphonique suffira à m’avoir fouetté suffisamment les sens ( et le sang ) afin que je poursuive ici ma route, dans le quotidien de mon « petit fond de rang »??... ... À suivre... Comme de raison... Mais voilà! Il me semble que ce soir, j’en ai ma claque de me sentir raisonnable. D’être « comme

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau recueillie à même la source.  Pour la san

La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)