Passer au contenu principal

À fleur de neige



« … Deux icônes amossois : le pont de fer et la cathédrale! Deux reliques faisant parti de notre décor depuis toujours. 

 
Enfin… Depuis « mon toujours » à tout le moins!

Malgré le fait que je passe et repasse cette route quotidiennement, je me laisse encore surprendre parfois par une lueur mitigée derrière les nuages, un arbre décharné espérant ardemment le printemps, les perspectives, des jeux de formes déformées…

Ce matin-là, la neige s’était glissée sous un voile brunâtre, mélange de sable et d’eau, prémisse de la prochaine saison à venir. 

L’air explosait son calme d’un samedi matin. La Vie s’était ralentie, les voitures se faisaient rares. La marche devenait divine. Nécessaire.

Je fis des réserves, en cas d’éventuels jours à venir, plus gris que nature. 
Je peux dire que cet hiver, j’ai ramassé plus que mon lot.

L’habituelle légère déprime de février peut aller se rhabiller!... »
 

Commentaires

Messages les plus consultés de ce blogue

La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Paul Piché - L'escalier

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...