« … Une fois l’an seulement. Ou presque. Je me permets de bouffer de la poutine.
Pour vrai!...
Déjà, il y a mille ans de cela, l’activité se faisait un 31 décembre, à St-Dominique-du-Rosaire. Au petit resto de la place…
On commençait par l’apéro en plein bois. Puis on se rendait « Chez Céline », pour la Tintin ou autre truc du genre, noyée dans la sauce brune et inondée de fromage en grains. Comme dans la chanson… Sauf qu’on n’était pas en fin de soirée…
Avec le Temps et les années, mon rituel s’est modifié et la poutine s’est infiltrée à mon insu, un peu n’importe quand dans le courant de l’année. Mais toujours qu’une seule fois. Et ne me demandez pas pourquoi…
TOC exige...
…Exigeait…
Dimanche… Il est à peine 18hres. La faim Nous tenaille un peu. Une idée folle s'insinue et fait son chemin, arrivant à Nous faire mettre de côté celle des cuisses de poulet rôties avec purée de pommes de terre et carottes servies avec sauce aux canneberges…
Y’a pas de bon échange… Y’a que la folie du moment qui Nous habite…
On entre. On commande. On mange. C’était DÉLICIEUX!... VRAIMENT!...
Tellement un beau moment…
Morale de l’histoire : comme quoi l’essentiel ne tient parfois (et presque toujours…), qu’à très-très peu de choses… »
"Un hotdog avec ça?", Amos, janvier 2016 |
Commentaires
Nenon nenon, pas à cause de ta poutine annuelle que j'ai imaginée... mais plutôt à cause de tes photos de l'Hôtel Queen...
Je t'ai déjà raconté que petite, quand on descendait de Matagami pour aller à La Sarre (nos grands-parents étaient de l'Abitibi-Ouest) on passait à Amos et on arrêtait chez P.A. Périgny, le plus beau magasin du monde? Eh bien, l'autre arrêt obligatoire était... l'hôtel Queen!
Sympathique ces petits casse-croûtes où t'as toujours l'impression de t'intégrer à une rencontre de famille...