Sûrement que certains billets publiés antérieurement vous auront mis la puce à l’oreille du fait que j’aime bien prendre une bière (ou deux…), l’été, sur le patio ou, en tout autre Temps, que ce soit lors de « 5 à 7 » avec des Amis ou seule au SylÉmi…
Et/ou… Que j’aime bien siroter un verre d’un bon vin pendant
la préparation de ce qui deviendra un pantagruélique repas.
Et/ou… En siroter
un autre en mangeant.
Et/ou… En prendre un dernier en lavant la vaisselle (parce
que dans ma Vie, il n’y a de place que pour un « sèche-vaisselle »*…).
Tout ça juste parfois. Pas tout le Temps. Quand même…
Depuis longtemps, ma consommation me turlupine. En fait, plus
encore quand je travaillais au Nunavik. L’éloignement, l’ennui, la solitude.
Peut-être. Probablement…
Ce matin, j’en fais une sortie. Pour la cause. Parce que je
ne peux pas croire que je puisse être la seule au monde à m’introspecter sur le
sujet. Parce que pour moi, et pour la deuxième année** consécutive, j’embarquerai
dans ce défi qu’est le « 28 jours sans alcool » de la Fondation Jean
Lapointe ***.
S’ils sont « willing » de faire de la prévention
en toxicomanie chez les jeunes de 12 à 14 ans, je le serai à mettre à côté de
ma Vie, l’alcool pour tout février.
Aurez-vous cette audace?...
Après tout, comme je l’avais écrit en 2015…
« Tout seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus
loin. »
Ben oui qu’ils sont sages ces Africains!!!
« Change pour change… pour un
mois! », Amos, janvier 2016
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Commentaires
Deal????...
Je t'encourage à le faire, c'est un beau défi.