Quand
j’ai commencé à écrire le billet du 15 novembre, je me sentais inspirée par la
photo de branchages, capturés au lieu d’un petit groupe de chiens rôdant autour
de l’un des leurs, ce dernier étant attaché à sa niche plantée au beau milieu du parc d’amusement. J’ai
voulu rapproché les sujets, je me suis enfargée dans la froidure… Puis certaines circonstances ont voulu que je tente un parallèle avec ce que je vivais au même moment. Je dois avouer que j’ai
royalement manqué mon coup, me perdant dans un dédale de mots qui, avec le recul,
n’expriment plus ni la photo pas
rapport dont je n’ai jamais voulu, ni les sentiments avec lesquels j’ai
tenté maladroitement de jouer.
Je
veux juste rassurer ceux qui ne lisent pas tous les commentaires, que je n’étais
ni très déprimée ni très excitée. J’étais, comme bien souvent, juste un peu mêlée (pour la rime...). Je n’ai pas
eu à consulter un psy pour tourner la page et j'ai continué le lendemain, comme si
de rien n’était. Mais j’ai tout de même réussi à semer le doute chez
quelques membres de mon lectorat. Vous m’en voyez désolée… En ce qui me
concerne, doutes et peurs arrivent souvent avec la noirceur et s’envolent à la
clarté du jour… Juste que de ce temps-ci, il commence à faire « brun »
un peu après quinze heures… Ça fait long pour ruminer en ti-péché…
En
conclusion…
Plutôt que de déblatérer sur des non-sens, je devrais peut-être épiloguer
sur les sagas se déroulant dans le bas
du Québec. Mais ça reviendrait au même. J’en dirais qu’il se brasse de grosses
affaires, maintenant plutôt sur que
sous la table et je lancerais un just too
bad bien senti, à tous ceux qui ont les mains dans cette pâte à la farine
blanchie. Pour ma part, I have other fish to
fry…
Façon de parler!
Photo: « Pourquoi pas… le goût du Bonheur? »,
Kuujjuaq, novembre 2012
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