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Sur le tableau il y a… (suite)


… un « J’aime ça l’matin! » Ciel que ces trois mots prennent tout leur sens depuis que je vis à l’ère du Temps-retrouvé. Prendre le Temps de siroter un café au lait et petit-déjeuner en écoutant Salut Bonjour, ne serait-ce que pour profiter de loin, de la grande Montréal et de ses nouvelles, représentent les premières heures de bonheurs quotidiens.
 
J’ai décidé d’en faire un leitmotiv en 2018! Ça implique de reporter l’écriture des billets à plus tard en journée. Ça sous-tend ne prendre aucun engagement avant 10h30-11h. Jusqu’à présent, c’est le nirvana.

Parfois j’étire la sauce jusqu’à écouter Deux filles le matin. Surtout si les sujets titillent mon attention. Comme ce matin avec l’hypocondrie. Suis-je à vivre une certaine téléphagie? Peut-être…

Depuis que 2018 s’est installé dans ma Vie, je me lève beaucoup plus tard. Est-ce déjà là, effet de l’âge? J’espère bien que non. Moi qui vise atteindre la longévité dont fait preuve Papa Fitzsou. Parlant de lui… Parenthèse. Je l’ai visité encore ce midi. Il était en pleine forme, avec son habituel appétit d’ogre et un dialogue presque sans fin de mots déracinés, extirpés de son propre lexique. Touchant… Retour au sujet principal

Je renoue donc avec le District 31 et le téléjournal de Radio-Canada et j’ai adopté by the way, les En tout cas (cette infirmière ex-Valdorienne-retraitée qui s’installe à Montréal pour se rapprocher de ses deux enfants), Fugueuse (j’avoue… c’est très difficile à regarder…) et Les magnifiques. D’ailleurs, je vous conseille de jeter un œil sur cette dernière série. Un trente minutes que je trouve désopilant et en plussse…  c’est le cousin de mes Enfants qui en est le script-éditeur et auteur (l’un des…). 

Génial! Les vendredis 21h30 à Radio-Canada. 

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Belle et insouciante jeunesse!

« … Ce jour-là, dès que sa voix s’était élevée pure et assurée, par-delà le chœur de la cathédrale, j’avais pris ma décision. Cette jeune chanteuse qui   présenterait un spectacle pour ramasser des fonds pour financer son premier album, et bien… je serais du nombre qui irait l’encourager au sous-sol de la petite église de St-Mathieu-d’Harricana!    Et c’est avec l’Amie Tweety que j’irais! ( c’est même elle qui s’est occupée de l’achat des billets!… )  Vendredi soir, dix-neuf heures trente. La salle est pleine. On refuse du monde. Question d’assurances. Ça jase. Je revois des figures connues, reconnues. Placés à l’avant, devant nous, les enfants de l 'Artiste , et ceux d’un couple d’amis. Tout ce beau monde est assis directement par terre. Par choix. Et les pieds se balancent de gauche à droite, en des semblants de pantins désarticulés. Les mots sont lancés. Chantés. Clamés. Poésie du moment, odes à l’Abitibi. Aisance sur scène. Assurance d 'une méne...