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Bizarreries néo-zélandaises (et australiennes)



« … Merci Wilson d’avoir assumé ces dernières (premières?) pages. Pour une rare fois depuis presque 10 ans, j’avais, inexplicablement, de la difficulté à les mettre au monde… Me demande ce qu’auront l’air les mois à venir… Merci encore mon Ami…»
 
Avant de clore définitivement l’épopée Nouvelle-Zélande/Australie, j’aimerais ajouter certains faits. Tout d’abord, si quelques membres allumés de mon lectorat, se questionnent sur le dénouement des péripéties du sac-à-dos-vert-Colorado, il est bel et bien revenu à Amos. 

Le 1er en fin d’après-midi, Delta appelait pour dire qu’ils l’avaient reçu à Montréal. En fin de soirée, c’était au tour d’Air Jazz de m’aviser qu’il était rendu à Val-d’Or. Et le lendemain matin, à 7h, le terminus d’autobus m’appelait. Le fugueur était arrivé, sans encombre et avec son ventre bien plein. Quelle veine!

Maintenant, en vrac, quelques bizarreries néo-zélandaises :

-     dans les épiceries, les Jeunes (les miens) se faisaient carter lorsque les provisions incluaient de l’alcool. Comme je voyageais en formule « tout inclus », ce n’était pas mon problème. L’un ou l’autre devait présenter son passeport et du coup, assumait le règlement des achats. Plus fort que moi, à chaque fois, je rigolais!

-     le soleil sur l’heure du midi, se trouve au… nord! Désorientant…

-     là-bas, on mange des kiwis mais on en rencontre aussi en pleine rue (!) ou si nous sommes chanceux (ce ne fut pas notre cas) on peut les observer en pleine nature (!); trouvez l’erreur…

-     on y trouve de beaux gâteaux au hasard de nos errances; les vœux eux, laissent à désirer… 

-     À Queenstown, il existe un 24 hours alcohol ban, entre autres le jour de Noël; impossible d’acheter de l’alcool en nulle part, sauf si consommé avec un repas. De là le « Noël-presque-dry »…
 
-     Pis, pis… les arbres sont faits forts!!!...

Par ailleurs, à Sydney, Australie :

-     Il existe une légende urbaine : si on flatte le groin du sanglier situé en face du Sydney Hospital, cela porterait bonheur… Moyennant un don, bien sûr… Et évidemment, je me suis pliée à cette légende… et au don!

-     Angel Place se fait l’hôte d’une exposition d’une centaine de cages à oiseaux vides, représentant la faune ailée ayant été repoussée avec l’urbanisation… Plaisir aérien…
 
Et l’un des trucs cachés du voyage:

-     Désolée Belle-Sœur Nit, mais oui, nous avons vraiment monté une tente dans ta salle à manger*… 😉


*maison possiblement à vendre, soit dit en passant, dans Dorval; super bien située pour se rendre à l’aéroport en taxi… Contactez-moi en privé…

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