...un peu plus difficile ce jeudi, quoique bien débuté, dans la joie et les éclats de rire...
J’ose quand même dire « et de six... », car la plupart des critères me permettant d’utiliser ce genre d’expression ont été respectés... Mais pour comprendre, vous devez avoir lu les cinq billets précédents...
Seule l’impatience c’est pointée le bout du nez en pm, découlant assurément de la fatigue que je sentais monter en moi, avec autant d’assurance que le mercure dans un thermomètre les jours de fièvre...
Et cette fatigue provenait d’une moins bonne nuit de sommeil qui je l’espérais, n’atteindrait pas mon état de pseudo sérénité des derniers jours. Mais je me leurrais...
Car fatigue et moi, n’avons jamais fait bon ménage! Et ce n’est pas aujourd’hui que ça devait commencer... Alors j’ai dû terminer ma soirée, les doigts bien écartés pour me faire penser de « lâcher prise » sur les envahissantes pensées qui tentaient de se frayer un chemin dans ma caboche (technique lue dans « Heureux sans raison » et que j’applique depuis la fin de semaine dernière...) et qui auraient facilement pu m’empêcher d’écrire « et de six»...
Résultat: je me sens aussi vidée qu’un citron que l’on se serait acharné à presser jusqu’à ce que la pelure se brise... Aussi je ne m’éterniserai pas ce soir...
En fait, quand je me sens comme ça, c'est comme si mes ailes devenaient de plomb. Même écrire me pèse, et cela je ne veux point.
Je privilégie donc sagement le repos, et demain, tout ira mieux...
...c’est certain...
J’ose quand même dire « et de six... », car la plupart des critères me permettant d’utiliser ce genre d’expression ont été respectés... Mais pour comprendre, vous devez avoir lu les cinq billets précédents...
Seule l’impatience c’est pointée le bout du nez en pm, découlant assurément de la fatigue que je sentais monter en moi, avec autant d’assurance que le mercure dans un thermomètre les jours de fièvre...
Et cette fatigue provenait d’une moins bonne nuit de sommeil qui je l’espérais, n’atteindrait pas mon état de pseudo sérénité des derniers jours. Mais je me leurrais...
Car fatigue et moi, n’avons jamais fait bon ménage! Et ce n’est pas aujourd’hui que ça devait commencer... Alors j’ai dû terminer ma soirée, les doigts bien écartés pour me faire penser de « lâcher prise » sur les envahissantes pensées qui tentaient de se frayer un chemin dans ma caboche (technique lue dans « Heureux sans raison » et que j’applique depuis la fin de semaine dernière...) et qui auraient facilement pu m’empêcher d’écrire « et de six»...
Résultat: je me sens aussi vidée qu’un citron que l’on se serait acharné à presser jusqu’à ce que la pelure se brise... Aussi je ne m’éterniserai pas ce soir...
En fait, quand je me sens comme ça, c'est comme si mes ailes devenaient de plomb. Même écrire me pèse, et cela je ne veux point.
Je privilégie donc sagement le repos, et demain, tout ira mieux...
...c’est certain...
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