J’arrive tout juste de garder mes deux petits mousses...
Deux petites tornades sympathiques qui me ramènent dans une autre époque, celle des explications, des conciliations, des éclats de rire, des inventions loufoques, des moments de « petite folie de la journée », des grimaces, de l’imaginaire ailé...
Deux garçonnets qui deviendront un jour des hommes, et qui se souviendront peut-être en riant, de cette « vieille gardienne » qui les trimbalaient d’Amos à St-Mathieu pour aller jouer avec un Méo, une Céphalée, un P’tit Bonheur...
Deux anges, à peine un peu cornus, qui déplacent le temps avec l’insouciance de l’enfance, car ce soir, nous nous sommes inventés des projets de printemps et d’été... Des projets légers, qui sentaient l’aventure et l’insolite...
Deux êtres sensibles et sensés, au vocabulaire étoffé, souvent saisissant, car enrobé de cette candeur toute juvénile qui leur est propre...
Deux âmes, loin d’être en peine, pour qui le mot « calme » n’existe que dans un autre monde seulement..
Deux personnes avec qui j’ai pu partager de bons moments, comme celui que m’a réservé Matis, l’aîné, lorsqu’il m’a accueilli au service de garde, en criant mon prénom tout en sautillant... de joie!... Sans oublier les accolades affectueuses du petit Elliot pendant la lecture du « Roi lion »...
Bon, je m’arrête parce que toute bonne chose doit avoir une fin...et pour moi il est déjà l’heure...
Après tout, demain est un autre jour...
p.s. ...ma Douceur ma Belle, nous sommes à apprendre la chanson d’Émilie Jolie... Les gars la fredonnent avec justesse et passion... Une représentation est prévue d’ici l’été...
Deux petites tornades sympathiques qui me ramènent dans une autre époque, celle des explications, des conciliations, des éclats de rire, des inventions loufoques, des moments de « petite folie de la journée », des grimaces, de l’imaginaire ailé...
Deux garçonnets qui deviendront un jour des hommes, et qui se souviendront peut-être en riant, de cette « vieille gardienne » qui les trimbalaient d’Amos à St-Mathieu pour aller jouer avec un Méo, une Céphalée, un P’tit Bonheur...
Deux anges, à peine un peu cornus, qui déplacent le temps avec l’insouciance de l’enfance, car ce soir, nous nous sommes inventés des projets de printemps et d’été... Des projets légers, qui sentaient l’aventure et l’insolite...
Deux êtres sensibles et sensés, au vocabulaire étoffé, souvent saisissant, car enrobé de cette candeur toute juvénile qui leur est propre...
Deux âmes, loin d’être en peine, pour qui le mot « calme » n’existe que dans un autre monde seulement..
Deux personnes avec qui j’ai pu partager de bons moments, comme celui que m’a réservé Matis, l’aîné, lorsqu’il m’a accueilli au service de garde, en criant mon prénom tout en sautillant... de joie!... Sans oublier les accolades affectueuses du petit Elliot pendant la lecture du « Roi lion »...
Bon, je m’arrête parce que toute bonne chose doit avoir une fin...et pour moi il est déjà l’heure...
Après tout, demain est un autre jour...
p.s. ...ma Douceur ma Belle, nous sommes à apprendre la chanson d’Émilie Jolie... Les gars la fredonnent avec justesse et passion... Une représentation est prévue d’ici l’été...
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