Vous connaissez l’histoire relative à la planification efficace de notre temps?... Vous savez celle où on y explique de mettre d’abord dans notre vie, les choses qui sont les plus importantes pour nous, pour ensuite combler avec ce qui l’est moins, et encore moins, et encore encore moins?...
J’ai remis la main sur ce petit texte, paru dans notre journal interne au travail, en 1999... En survolant ces lignes, je me rappelai l’idée suggérée de comparer notre vie à un pot, dans lequel on déposerait de gros cailloux, puis croyant faussement qu’il est rempli, où nous réussirions à y glisser du gravier, puis du sable et finalement de l’eau...
Et la leçon à retenir, n’est pas de penser que l’on peut toujours finir par trouver du temps pour en faire plus, mais bien que si nous ne priorisons pas les « gros cailloux », tout le reste ne pourra entrer, ni dans le pot, ni dans notre vie...
Alors moi je décide, que les « gros cailloux » de ma vie seront les suivants:
- prendre enfin du temps pour moi...
- écrire à chaque jour, sinon le plus fréquemment possible
- voir et faire des activités avec tous les membres de ma famille
- partager de bons repas avec mes amies (et peut-être un jour avec des « amis »...)
- aller à chaque ciné-qualité annoncé...
- plonger tête première, dans la lecture de tous ces livres qui ne demandent qu’à s’ouvrir à moi...
- assister à tous les concerts où se produira une certaine docteure de ma connaissance qui violone angéliquement bien...
Et je décide également, que le gravier sera mon travail, le sable, toutes les tâches relevant du fait d’être propriétaire d’une maisonnette, et enfin, l’eau, représentera tous les « age » qui ont pris jusqu’à présent tant de place dans ma vie: époussetage, ménage, balayage, repassage, « asticotage », rage...
...en fait, je n’en conserverai qu’un, que je déposerai d’ailleurs avec mes « gros cailloux »: le courage...
...courage d’accepter les conséquences d’une décision prise en juin dernier...
... et courage de poursuivre l'introspection en découlant...
J’ai remis la main sur ce petit texte, paru dans notre journal interne au travail, en 1999... En survolant ces lignes, je me rappelai l’idée suggérée de comparer notre vie à un pot, dans lequel on déposerait de gros cailloux, puis croyant faussement qu’il est rempli, où nous réussirions à y glisser du gravier, puis du sable et finalement de l’eau...
Et la leçon à retenir, n’est pas de penser que l’on peut toujours finir par trouver du temps pour en faire plus, mais bien que si nous ne priorisons pas les « gros cailloux », tout le reste ne pourra entrer, ni dans le pot, ni dans notre vie...
Alors moi je décide, que les « gros cailloux » de ma vie seront les suivants:
- prendre enfin du temps pour moi...
- écrire à chaque jour, sinon le plus fréquemment possible
- voir et faire des activités avec tous les membres de ma famille
- partager de bons repas avec mes amies (et peut-être un jour avec des « amis »...)
- aller à chaque ciné-qualité annoncé...
- plonger tête première, dans la lecture de tous ces livres qui ne demandent qu’à s’ouvrir à moi...
- assister à tous les concerts où se produira une certaine docteure de ma connaissance qui violone angéliquement bien...
Et je décide également, que le gravier sera mon travail, le sable, toutes les tâches relevant du fait d’être propriétaire d’une maisonnette, et enfin, l’eau, représentera tous les « age » qui ont pris jusqu’à présent tant de place dans ma vie: époussetage, ménage, balayage, repassage, « asticotage », rage...
...en fait, je n’en conserverai qu’un, que je déposerai d’ailleurs avec mes « gros cailloux »: le courage...
...courage d’accepter les conséquences d’une décision prise en juin dernier...
... et courage de poursuivre l'introspection en découlant...
Commentaires
Mais il y en aura d'autres...(vendredi...), alors, oui, on s'en reparle. xoxo