...il y a encore aujourd’hui, persistance de l’état quasi inespéré, d’aménité de mon âme... Je vole sur la pointe des ailes... Trois jours, trois nuits...
Je croise mes plumes...
Ce matin profitant de ma demi-journée de congé, j’ai osé, malgré le noroît, flotter sur les dunes glacées et miroitantes du fameux champ à « Jolin »... J’ai failli entraîner Méo dans un épuisement total!...
Pauvre Méo! Il n’avait pas de raquettes, lui!...
Malgré toutes mes précautions pour lui trouver d’anciennes pistes de motoneige, il dut peiner pour me suivre... Mais lui et moi, partageons la même volonté et la même détermination... quand on s’y met!... alors...
...l’atterrissage de notre expédition, ne pouvait se réaliser que tout en douceur... Finalement...
Par la suite, toujours le nez dans mon bouquinage, je lus ce passage que je désire partager avec vous.
Comme j’aime et j’aimerai toujours les autochtones, j’ai trouvé cet extrait inspirant...
« Un soir, un aîné de la nation Cherokee (mais je suis certaine qu’il aurait pu être Algonquin...) a parlé à son petit-fils de la bataille qui se déroule à l’intérieur des gens. Il a dit:
- Mon fils, la bataille a lieu entre les deux « loups » qui vivent en chacun de nous. L’un s’appelle Malheur. Il incarne la peur, l’inquiétude, la colère, la jalousie, le regret, l’apitoiement sur soi, le ressentiment et le sentiment d’infériorité. L’autre s’appelle Bonheur. Il incarne la joie, l’amour, l’espoir, la sérénité, la gentillesse, la générosité, la vérité et la compassion. »
Le petit-fils a réfléchi pendant une minute et puis a demandé à son grand-père:
- Quel loup gagne?
Le vieil Indien lui répond simplement:
- Celui que tu nourris. »
« Heureux sans raison », Marci Shimoff, page 136
J’espère que vous comprendrez le pourquoi je voulais partager cela avec vous... c’est qu'une fois de plus, ça me parle beaucoup...
Beaucoup trop même même...
p.s. Le duo Riverin-Gaulin hier, s’était tout simplement sublime... D’une virtuosité remarquable...
...Dommage pour vous que vous les ayez manqué...
Je croise mes plumes...
Ce matin profitant de ma demi-journée de congé, j’ai osé, malgré le noroît, flotter sur les dunes glacées et miroitantes du fameux champ à « Jolin »... J’ai failli entraîner Méo dans un épuisement total!...
Pauvre Méo! Il n’avait pas de raquettes, lui!...
Malgré toutes mes précautions pour lui trouver d’anciennes pistes de motoneige, il dut peiner pour me suivre... Mais lui et moi, partageons la même volonté et la même détermination... quand on s’y met!... alors...
...l’atterrissage de notre expédition, ne pouvait se réaliser que tout en douceur... Finalement...
Par la suite, toujours le nez dans mon bouquinage, je lus ce passage que je désire partager avec vous.
Comme j’aime et j’aimerai toujours les autochtones, j’ai trouvé cet extrait inspirant...
« Un soir, un aîné de la nation Cherokee (mais je suis certaine qu’il aurait pu être Algonquin...) a parlé à son petit-fils de la bataille qui se déroule à l’intérieur des gens. Il a dit:
- Mon fils, la bataille a lieu entre les deux « loups » qui vivent en chacun de nous. L’un s’appelle Malheur. Il incarne la peur, l’inquiétude, la colère, la jalousie, le regret, l’apitoiement sur soi, le ressentiment et le sentiment d’infériorité. L’autre s’appelle Bonheur. Il incarne la joie, l’amour, l’espoir, la sérénité, la gentillesse, la générosité, la vérité et la compassion. »
Le petit-fils a réfléchi pendant une minute et puis a demandé à son grand-père:
- Quel loup gagne?
Le vieil Indien lui répond simplement:
- Celui que tu nourris. »
« Heureux sans raison », Marci Shimoff, page 136
J’espère que vous comprendrez le pourquoi je voulais partager cela avec vous... c’est qu'une fois de plus, ça me parle beaucoup...
Beaucoup trop même même...
p.s. Le duo Riverin-Gaulin hier, s’était tout simplement sublime... D’une virtuosité remarquable...
...Dommage pour vous que vous les ayez manqué...
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