...finalement, la courte escapade dont il fut question dans mon billet du 4 janvier... se résume en un magnifique « presque » 24 heures chez ma Chum G. de Rouyn...
En effet, après quelques vaines recherches afin de me trouver gîte et « bon souper », au même endroit, dans la région, j’ai finalement accepté son invitation...
Comme il fut bon de se retrouver et de jaser ainsi tout notre saoul... Du quotidien, du tout et du rien... De tous ces petits moments simples qui finissent par combler nos vies de douceur...
Souvenance d’une longue discussion sur le rôle sous-entendu de la "femme-infirmière"...
Et que dire de son Charmant Prince R.: homme attentionné, délicat et visiblement, éperdument amoureux de sa « Belle et Unique G. »...
Deux êtres chaleureux, simples, authentiques, chez qui je ne pouvais trouver, que réconfort et amitié...
...et la place d’amour, réservée au petit Jude, lequel j’ai l’impression d’avoir rencontré, par le biais du "regard photographique" énamouré de ses grands-parents...
Sans oublier Mouffe, reine partout... Chienne au pelage soyeux, affectueuse compagne...
...et leur maison qui leur ressemble: belle et pleine de vie, avec tous ces objets hétéroclites, ramassés au fil des années... Souvenirs, oeuvres d’art ou oeuvres, tout simplement...
Anachronique, conviviale, et marginale maisonnée...
Et c’est dans ce repaire d’anges, dans la chambre que j'occupai pour la nuit, que j’ai décidé d’abandonner DMA et sa DMG (douce moitié greffée...) à leur destinée une bonne fois pour toutes (enfin je le souhaite plus que tout au monde...)...
Je les ai "embarqués" dans cette montgolfière, suspendue au plafond, en ai "libéré" les attaches et leur ai "souhaité" bon vol, bonne route... ( merci Ami L. pour cet exercice...)
...par la suite, les bruits de la ville m’ont bercés, j’ai dormi comme un ange, me sentant légère et soulagée...
Et c'est en caressant de mes ailes au passage, les sièges de branchages de l’entrée, que je quittai ma Chum G. en début d'après-midi, promettant que l’on se reverrait bientôt... très bientôt...
En effet, après quelques vaines recherches afin de me trouver gîte et « bon souper », au même endroit, dans la région, j’ai finalement accepté son invitation...
Comme il fut bon de se retrouver et de jaser ainsi tout notre saoul... Du quotidien, du tout et du rien... De tous ces petits moments simples qui finissent par combler nos vies de douceur...
Souvenance d’une longue discussion sur le rôle sous-entendu de la "femme-infirmière"...
Et que dire de son Charmant Prince R.: homme attentionné, délicat et visiblement, éperdument amoureux de sa « Belle et Unique G. »...
Deux êtres chaleureux, simples, authentiques, chez qui je ne pouvais trouver, que réconfort et amitié...
...et la place d’amour, réservée au petit Jude, lequel j’ai l’impression d’avoir rencontré, par le biais du "regard photographique" énamouré de ses grands-parents...
Sans oublier Mouffe, reine partout... Chienne au pelage soyeux, affectueuse compagne...
...et leur maison qui leur ressemble: belle et pleine de vie, avec tous ces objets hétéroclites, ramassés au fil des années... Souvenirs, oeuvres d’art ou oeuvres, tout simplement...
Anachronique, conviviale, et marginale maisonnée...
Et c’est dans ce repaire d’anges, dans la chambre que j'occupai pour la nuit, que j’ai décidé d’abandonner DMA et sa DMG (douce moitié greffée...) à leur destinée une bonne fois pour toutes (enfin je le souhaite plus que tout au monde...)...
Je les ai "embarqués" dans cette montgolfière, suspendue au plafond, en ai "libéré" les attaches et leur ai "souhaité" bon vol, bonne route... ( merci Ami L. pour cet exercice...)
...par la suite, les bruits de la ville m’ont bercés, j’ai dormi comme un ange, me sentant légère et soulagée...
Et c'est en caressant de mes ailes au passage, les sièges de branchages de l’entrée, que je quittai ma Chum G. en début d'après-midi, promettant que l’on se reverrait bientôt... très bientôt...
Commentaires
Un jour j'ai pris mon envol. Je me suis délié les mains; elles sont parties toutes seules, comme n'appartenant plus à mon corps; elles écrivaient les mots. J'ai commencé à danser les mots.
Juliette Gréco Le Monde
Bonne journée xoxo