Il était une fois, dans une contrée lointaine, une douce Dame, qui passait ses journées à besogner sans relâche. Pendant les jours de semaine, elle aidait d’autres personnes à prendre soin de leur santé. Les soirs et les fins de semaine, elle s’occupait de ses enfants, de la maisonnée, tentait d’être une bonne compagne de vie, et vaquait, au travers de tout ça, à toutes ces tâches reliées aux obligations de l’existence, qu’elles lui plaisent ou non.
Elle virevoltait au fil des jours, s'arrêtant rarement pour reposer ses ailes...
Elle osait même travaillotter sur son « elle » intérieur, car elle aspirait secrètement, atteindre une certaine sagesse et sérénité, deux états d’esprit très enviés, en cette période de « course folle des temps modernes »...
Pour ce faire, il lui arrivait de coucher sur papier, ses humeurs. Ou encore, elle tentait de faire des rapprochements entre ses souvenirs et le moment présent... Plus elle écrivait, plus elle prenait plaisir à jouer ainsi avec les mots, alignant les lettres, les modelant, les sculptant jusqu’à ce que leur sens se précise, devienne éloquence...
Les années passaient, inexorablement, suivant le tic-tac du pendule de sa destinée...
Occasionnellement, elle aimait se réfugier dans la forêt, au milieu de nulle part, à vivre une infime parcelle du quotidien, de toutes ces valeureuses personnes, venues défricher et coloniser sa région, plusieurs décennies auparavant...
S’occuper de tout, pour demeurer au chaud (surtout lors de ces hivers rigoureux...),
S’occuper de tout, pour avoir accès à de l’eau en tout temps,
S’occuper de tout, pour se nourrir convenablement,
S’occuper de tout, pour respecter une certaine hygiène de base...
Et toujours lors de ces escapades, elle avait une pensée pour ceux et celles dont la vie avait pu ressembler à une "p’tite misère", mais qui, malgré tout, en avaient retiré des bonheurs simples et uniques...
Et cette Dame osait penser, qu’à son tour, dans plusieurs décennies de son époque à elle, il se trouverait quelqu' un pour écrire sur "ces" années, où les femmes durent apprendre à concilier travail, vie de famille et vie de couple, et où malgré toutes les facilités de leur ère, ils s’en trouvaient pour gémir...
...que leur vie n’était que « p’tite misère »...
Elle virevoltait au fil des jours, s'arrêtant rarement pour reposer ses ailes...
Elle osait même travaillotter sur son « elle » intérieur, car elle aspirait secrètement, atteindre une certaine sagesse et sérénité, deux états d’esprit très enviés, en cette période de « course folle des temps modernes »...
Pour ce faire, il lui arrivait de coucher sur papier, ses humeurs. Ou encore, elle tentait de faire des rapprochements entre ses souvenirs et le moment présent... Plus elle écrivait, plus elle prenait plaisir à jouer ainsi avec les mots, alignant les lettres, les modelant, les sculptant jusqu’à ce que leur sens se précise, devienne éloquence...
Les années passaient, inexorablement, suivant le tic-tac du pendule de sa destinée...
Occasionnellement, elle aimait se réfugier dans la forêt, au milieu de nulle part, à vivre une infime parcelle du quotidien, de toutes ces valeureuses personnes, venues défricher et coloniser sa région, plusieurs décennies auparavant...
S’occuper de tout, pour demeurer au chaud (surtout lors de ces hivers rigoureux...),
S’occuper de tout, pour avoir accès à de l’eau en tout temps,
S’occuper de tout, pour se nourrir convenablement,
S’occuper de tout, pour respecter une certaine hygiène de base...
Et toujours lors de ces escapades, elle avait une pensée pour ceux et celles dont la vie avait pu ressembler à une "p’tite misère", mais qui, malgré tout, en avaient retiré des bonheurs simples et uniques...
Et cette Dame osait penser, qu’à son tour, dans plusieurs décennies de son époque à elle, il se trouverait quelqu' un pour écrire sur "ces" années, où les femmes durent apprendre à concilier travail, vie de famille et vie de couple, et où malgré toutes les facilités de leur ère, ils s’en trouvaient pour gémir...
...que leur vie n’était que « p’tite misère »...
Commentaires
Je vous aime, bel ange et vous avez de beaux écrits!
Tweety.xx
à bien y penser, je ne vous aime pas... je vous adore!!!!
xoxo