7h45...J’ouvre les yeux sur ce qui deviendrait, je l’ai « voulu » dès mon réveil, un « dimanche magique »!
Croyant être en retard, j’enfilai rapidement mes vêtements, me maquillai légèrement (j’ignore pourquoi je prends ici la peine de spécifier « légèrement » quand c’est toujours ce que je fais...) et pris la route de la ville pour un déjeuner rencontre avec ma Chère M..
Arrivée au petit resto situé sur la 1ère avenue (comprendre que dans ma ville, tout est situé sur la « 1ère avenue »!...), je fus surprise de constater que je connaissais quelques unes des personnes attablées.
Je vis à la table du fond, Chère M., son conjoint, sa soeur et son beau-frère, un sourire se dessina sur mes lèvres. J’avais l’impression de rentrer chez-moi après une longue absence et de retrouver des êtres chers.
Lorsque je réalisai, qu’il y avait une place qui n’attendait que moi, j’éprouvai un vif sentiment d’appartenance... Je pouvais reposer mes ailes un instant...
Et j’atteignis un état presqu' extatique, lorsque mon Amie M. offrit à un couple de se joindre à nous (« comme dans le temps de la Base »... et on « joua de la chaise » pour leur faire une place!...); et de l’entendre ajouter candidement: «Venez, on a récupéré la Patronne!... »
Ce fut un très beau moment de retrouvailles... Je ne pouvais que comprendre que les « gens n’avaient pas fui », mais que c’était tout simplement moi, qui ne les avais pas cherché au bon endroit... Pour voir les gens, faut savoir abandonner « son » fond de rang... Leçon à retenir...
Après ce déjeuner, je montai à Vald’Or (montai ou descendis??? je ne le sais jamais...), voir mon père qui y demeure chez son amie depuis plus d’un an maintenant. Le voir en forme, toujours aussi jovial fut réconfortant. Je passai quelques tendres moments avec eux et après les habituels câlins, je repris la route vers mon chez-nous où un autre bon moment se préparait pour moi...
En effet, dès mon arrivée, le téléphone sonna, m’annonçant la visite de ma Bonne Amie G..
Gâtée que je suis!
Et ce « magique dimanche » se termina par une randonnée nocturne en raquettes, après un délicieux souper en compagnie de mon Grand et de ma Précieuse Bru...
Que pouvais-je demander de plus???
Croyant être en retard, j’enfilai rapidement mes vêtements, me maquillai légèrement (j’ignore pourquoi je prends ici la peine de spécifier « légèrement » quand c’est toujours ce que je fais...) et pris la route de la ville pour un déjeuner rencontre avec ma Chère M..
Arrivée au petit resto situé sur la 1ère avenue (comprendre que dans ma ville, tout est situé sur la « 1ère avenue »!...), je fus surprise de constater que je connaissais quelques unes des personnes attablées.
Je vis à la table du fond, Chère M., son conjoint, sa soeur et son beau-frère, un sourire se dessina sur mes lèvres. J’avais l’impression de rentrer chez-moi après une longue absence et de retrouver des êtres chers.
Lorsque je réalisai, qu’il y avait une place qui n’attendait que moi, j’éprouvai un vif sentiment d’appartenance... Je pouvais reposer mes ailes un instant...
Et j’atteignis un état presqu' extatique, lorsque mon Amie M. offrit à un couple de se joindre à nous (« comme dans le temps de la Base »... et on « joua de la chaise » pour leur faire une place!...); et de l’entendre ajouter candidement: «Venez, on a récupéré la Patronne!... »
Ce fut un très beau moment de retrouvailles... Je ne pouvais que comprendre que les « gens n’avaient pas fui », mais que c’était tout simplement moi, qui ne les avais pas cherché au bon endroit... Pour voir les gens, faut savoir abandonner « son » fond de rang... Leçon à retenir...
Après ce déjeuner, je montai à Vald’Or (montai ou descendis??? je ne le sais jamais...), voir mon père qui y demeure chez son amie depuis plus d’un an maintenant. Le voir en forme, toujours aussi jovial fut réconfortant. Je passai quelques tendres moments avec eux et après les habituels câlins, je repris la route vers mon chez-nous où un autre bon moment se préparait pour moi...
En effet, dès mon arrivée, le téléphone sonna, m’annonçant la visite de ma Bonne Amie G..
Gâtée que je suis!
Et ce « magique dimanche » se termina par une randonnée nocturne en raquettes, après un délicieux souper en compagnie de mon Grand et de ma Précieuse Bru...
Que pouvais-je demander de plus???
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