C’était la fête d’Environnement!
Comme ça que je l’ai interprété puisque c’était SA journée! Je ne m’en serais
pas douté, n’eût été de la lecture du journal local, l’Éveil qui en avait fait
mention.
Au Parc Paul-Yvon Lauzon, nous pouvions aller chercher
compost, échanger des plants vivaces, jeter un œil sur des livres usagés
traitant de jardin-ange… Lapsus
volontaire…
Je descendis donc le Chemin Principal jusqu’à la rue Clément.
Il faisait beau. Un samedi ensoleillé et chaud, sans l’être trop. Il n’y avait
pas foule sur le site, mais les convaincus y étaient, dont Mme Dep, fort
occupée à jaser avec une militante environnementaliste. Je passai droit sans m’arrêter
et j’entrai dans le Pavillon pour fouiner.
En
fait, il n’y avait pas grand-chose si ce n’était cette belle murale où je pus admirer
les œuvres de plusieurs artistes peintres, dont M. Du Repos. Comment aurait-il
pu en être autrement ???...
Je décidai de me rendre jusqu’au Chemin Oka, situé de l’autre
côté du viaduc. J’estimai un autre kilomètre de marche, inconfortable par
ailleurs, vu la proximité, l’achalandage et la vitesse des véhicules venant en
sens inverse de ma route.
Mais bon… je
finirais bien par m’y faire…
Lorsque je croisai la rue Valeri-Paquin, il me semblait avoir
vu qu’il y avait un terrain de tennis dans le coin. Je marchai jusqu’au bout
sans trouver d’autres indices. Je rebroussai chemin.
Je me rendis jusqu’au Chemin Oka. La route 344. L’eau s’était
enfin retirée et cette portion était maintenant réouverte à la circulation.
Comme il y avait beaucoup de trafic, je n’ai pas osé l’emprunter.
Je suis revenue chez-moi après un premier arrêt 2019 pour une crème glacée
molle.
Qui
sait? Ça pourrait devenir « la carotte-de-motivation-à-la-marche »
une fois que le Chemin des Outaouais sera derrière moi…
addenda: pour le terrain de tennis... j'étais sur le bon chemin. Tout au bout de la rue, il aurait fallu que je prenne à gauche sur Francine, puis à droite sur Rémi et encore à gauche pour y arriver... Facile pourtant, mais un peu loin et stressant à marcher quand viendra le Temps d'aller jouer...
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