« Ce n’est pas le monde qui est petit, mais le hasard qui est grand. » J’ignore qui a écrit ça. Dit ça. J’ai cherché un
peu. En vain.
Ce que je sais, c’est qu’il y
avait une mèche que ces mots filaient sous le quotidien. Attendant l’instant où
ils prendraient place sur l’ange-aérien. Suffisait d’attendre.
Le moment s’est présenté alors
que je faisais la tournée avec Jeune Sœur Chérie et ses
rejetons. Dès qu’on posa les pieds dans le hall d’entrée du Théâtre
Gilles-Vigneault à St-Jérôme. Un Homme à la mezzanine. Des regards échangés.
Voilà! Ils se retrouvaient
après plusieurs années de séparation. Un
grand et beau hasard… Impossible de ne pas ajouter un « Hey qu’le monde est p’tit! »!
Bon… Qu’il fut « en plusse » le Directeur
général de la place, ne changea rien aux joyeuses retrouvailles qui s’ensuivirent.
De courte placote en courte placote, les deux Amis échangèrent les nouvelles en
un Temps record. La séparation vint trop rapidement.
Ce David est de surcroît, d’origine
amossoise. Raison de plus pour jubiler les retrouvailles! Sympathique clin d’œil
de la Vie!
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Bon, bon, bon… Impulsion du
moment maintenant. Envol vers un article fabuleux (un
autre!)
de Philippe Marquis dans L’Indice
bohémien de juillet-août. Sous le titre « Tel un nuage de pollen », M. Marquis nous transporte là où il
fait bon vivre.
Suivons son invitation…
« … De butiner de village en village, de maison en maison, de campement en
campement, de feux de camp en feux de camp…»
Sans oublier de…
« … S’abreuver au nectar de tout un chacun, se charger des désirs insoumis.
Puis sourire en marchant sous la pluie… »
Ça que j’ai fait hier. Une
visite chez ma Bonne Amie Ghi et son J-M de Mari. Burgers, cornet érable et
noix et feu de camp…
Oups!
Non. Pas de feu de camp. Horizon bougon et Temps filant trop rapidement ont eu
raison…
Activité remisée en suspens dans l’Univers Infini…
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