À peine quelques lignes
échangées avec l’Ami Pat de Rimouski ce matin, faisaient germer en moi l’idée
de concrétiser ce que la neuvième-porte-d’armoire-de-cuisine
suggérait déjà depuis le début de l’année : une escapade dans le Bas
du Fleuve, direction St-André-de-Kamouraska et le Parc du Bic.
Le Temps de faire quelques
recherches, surtout concernant les distances entre Amos et cet ensorcelant Bas
du Fleuve, de zieuter un semblant d’itinéraire, nonobstant le fait qu’aucun des
principaux susceptibles-intéressés à
m’accueillir n’était encore avisé du projet, je me voyais déjà, pédaler au
grand vent sur le bord du Fleuve géant ou encore, fouler quelques sombres
sentiers de randonnée pédestre à même le Parc national du Bic.
« Tant qu’à y être, »
murmurai-je, « pourquoi pas une halte d’une ou deux nuitées à l’Auberge Comme au premier jour
à St-Pacôme? » Après tout, cette dernière figurait bien sur le Tableau de
visualisation 2018. Allez savoir pourquoi!
Chose
certaine, pourquoi m’empêcher de rêver???...
Comme l'écrit si bien la
globe-trotteuse eloiseontheroad, croisée sur le
lien de Flytrippers, je
pense qu’il ne faut pas craindre de glisser nos petits petons dans l’inconnu et
provoquer un peu ce genre de voyage pour atteindre le nirvana de la spontanéité.
Oser s’ouvrir aux autres, partager un peu de nos Vies respectives, permet d’avancer.
De moins juger. D’aimer mieux.
« Quand on laisse la Vie se charger de la partie organisation et qu’on
lâche prise, on ne peut qu’être agréablement surpris du résultat. »
C’est ce qu’elle
dit. Et moi je la crois!
Commentaires
Ayoye!
Vive l'Aventure !!!