Y’avait deux bonnes années que
mon Ami Louis XVI avait choisi, taillé, enrubanné, la centaine de baguettes de
pin (et
non de pain…) que j’avais sommairement estimées afin d’obstruer une fois
pour toutes les espaces inter-planchett-aires
s’étant créés au fil des années dans le coquet SylÉmi.
Et ça me tannait. Énormément.
De voir briller par ces interstices, le coupe-vapeur que j’avais eu la géniale
idée de choisir métallique! Arrivez-vous à imaginer l’effet, quand je prenais
une photo à l’intérieur?
Ben
voilà…
Un peu tannée également de ma
procrastination légendaire devant certaines tâches à accomplir, j’avais demandé
en mai dernier, à l’Ami Desro s’il acceptait de venir me donner un coup de main
afin de revamper un peu le camp et débuter la corvée « planchettes ».
Il accepta avec plaisir. Et j’en
fus fort aise…
Ce mardi, nous en étions à
notre 3ième visite. Après les 23km de trous déjoués chemin faisant,
dès que je fus sur place, je constatai avec opprobre, que j’avais oublié la
boîte de clous de finition et le Flextra brun
chocolat. Et le rodenticide. Pour mes petites amies.
Tête de linotte, va!
L’Ami Desro s’attarda tout de
même un peu sur le robinet de l’évier, d’où fuyait encore quelques gouttes à l’intérieur
de l’armoire. Voulant avancer le travail, il s’échina à mesurer-couper les lattes
de pin jusqu’à ce que la boîte à onglets rende l’âme en cours d’après-midi.
Résultat :
la plupart des bandes ne tiennent que par un minuscule clou. Ainsi en sera-t-il
jusqu’à ce que je me re-présente mieux
équipée… avec toute ma tête…
À suivre…
Commentaires
Bien à vous
FS
En passant, n'importe quand vous êtes les bienvenus, Nicole et vous! ;-)