Comme par les années passées, le 22 février, en pleine période de vacances, j’ai entrepris mon énième « grand ménage corporel du printemps », en faisant le libre choix de supprimer certains items de ma routine de vie: exit les croustilles, le chocolat, l’alcool, les desserts et les dépenses inutiles. J’ai plutôt axé sur profiter des marches quotidiennes pour oxygéner mon cerveau endormi par l’air chargé d’électrons négatifs au bureau. Et les électrons négatifs, vous pouvez les prendre dans tous les sens du mot, au propre comme au figuré.
Mais je n’élaborerai pas…
Quel ne fut pas ma surprise de lire un article dans la revue « Virage » numéro du printemps, sur le sens de Pâques en 2012. Parce que ça s’en vient cette fête. Vous ai-je dit que pour moi elle était encore plus importante que celle de Noël parce qu’il y a cette possibilité de rencontres amicales et/ou familiales sans les tralalas de ces interminables courses aux cadeaux en plus du "qui a les plus belles décorations" et du "qui aura la plus somptueuse" réception?
Là vous savez…
Pâques, pour moi, c’est un lever à quatre heures du matin pour rejoindre l'Amie LaRose et me rendre avec une partie des membres de sa famille, embouteiller l’eau d'un dimanche pas comme les autres. Quand penchés au-dessus du ruisseau, nous avalons cette gorgée qui nous gardera en santé la prochaine année durant; quand on s’approche des grands bouleaux pour en retirer un morceau d’écorce qui nous fournira du « boulot » toute l’année; quand on passe chez la famille G-G pour y caler ce petit verre d’alcool au goût d’Abitibi dont j’ai oublié le nom (comme de raison…) et quand on finit dans le garage de Monsieur D, frère de mon Amie LaRose, et qu’on partage le succulent brunch que nous a préparé Amie M et son mari, c’est là que je sens mon cœur, ma tête, mon Âme en Vraie Fête.
Et c’est justement ce que j’ai le goût de vivre dans les deux prochaines semaines : oublier le travail, ses tracas et un certain visage boudeur, pour me centrer sur ce que la vie a de meilleur à m’offrir : une famille et des Amis Abitibiens.
Ça c’est la vraie vie!(n'en déplaise à tous mes Amis des quatre coins de la Belle Province...)
(je me rends compte que j’ai complètement passé à côté du sujet que je voulais aborder avec vous… demain matin peut-être, avant que ne s’envole l’Ange…)
Photo : « Prendre du recul », Kuujjuaq, mars 2012
Mais je n’élaborerai pas…
Quel ne fut pas ma surprise de lire un article dans la revue « Virage » numéro du printemps, sur le sens de Pâques en 2012. Parce que ça s’en vient cette fête. Vous ai-je dit que pour moi elle était encore plus importante que celle de Noël parce qu’il y a cette possibilité de rencontres amicales et/ou familiales sans les tralalas de ces interminables courses aux cadeaux en plus du "qui a les plus belles décorations" et du "qui aura la plus somptueuse" réception?
Là vous savez…
Pâques, pour moi, c’est un lever à quatre heures du matin pour rejoindre l'Amie LaRose et me rendre avec une partie des membres de sa famille, embouteiller l’eau d'un dimanche pas comme les autres. Quand penchés au-dessus du ruisseau, nous avalons cette gorgée qui nous gardera en santé la prochaine année durant; quand on s’approche des grands bouleaux pour en retirer un morceau d’écorce qui nous fournira du « boulot » toute l’année; quand on passe chez la famille G-G pour y caler ce petit verre d’alcool au goût d’Abitibi dont j’ai oublié le nom (comme de raison…) et quand on finit dans le garage de Monsieur D, frère de mon Amie LaRose, et qu’on partage le succulent brunch que nous a préparé Amie M et son mari, c’est là que je sens mon cœur, ma tête, mon Âme en Vraie Fête.
Et c’est justement ce que j’ai le goût de vivre dans les deux prochaines semaines : oublier le travail, ses tracas et un certain visage boudeur, pour me centrer sur ce que la vie a de meilleur à m’offrir : une famille et des Amis Abitibiens.
Ça c’est la vraie vie!(n'en déplaise à tous mes Amis des quatre coins de la Belle Province...)
(je me rends compte que j’ai complètement passé à côté du sujet que je voulais aborder avec vous… demain matin peut-être, avant que ne s’envole l’Ange…)
Photo : « Prendre du recul », Kuujjuaq, mars 2012
Commentaires
Va recharger tes batteries et reviens nous avec de beaux souvenirs à partager.
Comme je n'aurai pas l'Internet, j'ai laissé traîner quelques pensées sur mon blogue pour meubler mon absence...
On se recroise le 16 avril...
Amitiés, xoxoxo