Dans quarante-huit heures, je changerai une fois de plus de parallèle. Je serai sous la barre du quarante-neuvième, en-haut du quarante-huitième…
Vous me suivez?
J’y passerai les deux prochaines semaines, à m’occuper d’une petite maison blanche aux volets verts, à qui je demanderai bientôt de vivre pour une autre famille.
Il y a de ces séparations dans la vie…
J’envisage quitter ce bout de chemin menant à nulle part si ce n’est à ce fameux champ « à Jolin », que je n’arpente plus depuis maintenant trois hivers…
Déjà…
J’aurai du temps pour rêvasser, pour lire « Comme un vol de gerfauts » de François Sobieraj (promis… et je vous en reparle à mon retour à Kuujjuaq, puisque je n’aurai pas accès à Internet, à moins de me déménager à la bibliothèque de la Ville car apparemment, tous les cafés internet sont fermés…), aller voir mes Amis dont le prénom ou nom de famille débute par un « G »…
Ce sera un bon début…
J’irai envelopper ma Douceur ma Belle d'Amour de Mère, caresser la tête de Méo, humer l’air de cette nouvelle maison qui est la leur...
Et bien sûr, je passerai chaque jour par Trécesson, raconter à Papa Fitzsou des histoires rocambolesques, qu’il hésitera à croire... même si elles sont siennes…
photo:"Milieu de nulle part", Kuujjuaq, mars 2012
Vous me suivez?
J’y passerai les deux prochaines semaines, à m’occuper d’une petite maison blanche aux volets verts, à qui je demanderai bientôt de vivre pour une autre famille.
Il y a de ces séparations dans la vie…
J’envisage quitter ce bout de chemin menant à nulle part si ce n’est à ce fameux champ « à Jolin », que je n’arpente plus depuis maintenant trois hivers…
Déjà…
J’aurai du temps pour rêvasser, pour lire « Comme un vol de gerfauts » de François Sobieraj (promis… et je vous en reparle à mon retour à Kuujjuaq, puisque je n’aurai pas accès à Internet, à moins de me déménager à la bibliothèque de la Ville car apparemment, tous les cafés internet sont fermés…), aller voir mes Amis dont le prénom ou nom de famille débute par un « G »…
Ce sera un bon début…
J’irai envelopper ma Douceur ma Belle d'Amour de Mère, caresser la tête de Méo, humer l’air de cette nouvelle maison qui est la leur...
Et bien sûr, je passerai chaque jour par Trécesson, raconter à Papa Fitzsou des histoires rocambolesques, qu’il hésitera à croire... même si elles sont siennes…
photo:"Milieu de nulle part", Kuujjuaq, mars 2012
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