… quelqu’un d’autre!
C’est vers 19 :30, que le téléphone a sonné et que mon Oubedon m’a offert une expédition sous les étoiles. Sans hésiter j’ai répondu :
« Ben oui! Why not! » (bilinguisme oblige en région…)
Il y avait nuance d’aurores boréales à l’horizon, faiblottes à notre départ, mais elles semblaient vouloir prendre de l’assurance, alors il n’en fallait pas plus pour doubler notre motivation dans ce raid imprévu!
Comme je viens d’une famille qui n’a pas « froid aux yeux », j’ai enfilé combinaisons, pantalon doublé, polars, tuque et mitaines, et d’un bond (gracieux…), je sautai à l’arrière du véhicule tout terrain.
Nous étions partis…
Après un court arrêt pour détacher Kanayuk, qui embarqua (tout aussi gracieusement…) entre Oubedon et le guidon (rime oblige…), nous prîmes la route du Range longeant la piste d’atterrissage. La même route que j’ai « bicyclé » tout l’été! La nuit était fraîche, le ciel inondé d’étoile polaire et autres de tout acabit…
Jamais nous n’aurions pu rêver d’un 5 janvier plus doux… À peine le vent a-t-il daigné venir caresser nos visages, alors que tous phares éteints, nous offrions notre regard à l’immensité d’un noir d’encre…
Et comme toute belle histoire a une fin, et parfois une triste fin, ben…
… les aurores boréales ne furent jamais plus que simples nuances!
Meilleure chance la prochaine fois...
C’est vers 19 :30, que le téléphone a sonné et que mon Oubedon m’a offert une expédition sous les étoiles. Sans hésiter j’ai répondu :
« Ben oui! Why not! » (bilinguisme oblige en région…)
Il y avait nuance d’aurores boréales à l’horizon, faiblottes à notre départ, mais elles semblaient vouloir prendre de l’assurance, alors il n’en fallait pas plus pour doubler notre motivation dans ce raid imprévu!
Comme je viens d’une famille qui n’a pas « froid aux yeux », j’ai enfilé combinaisons, pantalon doublé, polars, tuque et mitaines, et d’un bond (gracieux…), je sautai à l’arrière du véhicule tout terrain.
Nous étions partis…
Après un court arrêt pour détacher Kanayuk, qui embarqua (tout aussi gracieusement…) entre Oubedon et le guidon (rime oblige…), nous prîmes la route du Range longeant la piste d’atterrissage. La même route que j’ai « bicyclé » tout l’été! La nuit était fraîche, le ciel inondé d’étoile polaire et autres de tout acabit…
Jamais nous n’aurions pu rêver d’un 5 janvier plus doux… À peine le vent a-t-il daigné venir caresser nos visages, alors que tous phares éteints, nous offrions notre regard à l’immensité d’un noir d’encre…
Et comme toute belle histoire a une fin, et parfois une triste fin, ben…
… les aurores boréales ne furent jamais plus que simples nuances!
Meilleure chance la prochaine fois...
Commentaires
Bonne chance pour la prochaine fois.
Quitte à passer pour un ignare béotien, je dois vous demander la signification du mot "oudebon"...
Il va falloir que je m'achète de nouvelles lunettes de vieux... Dans mon message précédent, il fallait lire "oubedon".
Désolé...
M.Sobieraj: "oubedon" est une expression québécoise signifiant que nous avons un choix, un genre de "un ou l'autre"... à l'endroit où je travaille, l'un de mes collègues emploient souvent cet ... (? désolée mais ce matin le terme exact ne me vient pas pour exprimer ce genre d'expressions...). Donc de là que je l'ai surnommé "Oubedon"... Il y avait longtemps que je n'avais parlé lui dans mes billets mais je l'avais fait à quelques reprises dans le passé...
Alors voilà, et que je vous vois vous traiter d'ignare béotien vous!!! (en passant, je ne sais même pas ce que c'est!!!...) Bonne journée!xo
;-)
Ah ces Hommes!...