Dialogue étrange et inusité… Échanges sur l’essence même de l’essentiel… celui que l’on souhaiterait voir se métamorphoser d’un coup de baguette, si une Bonne Fée nous en offrait la possibilité…
Nous avons discuté longuement, tout d’abord d’un tout et puis d’un rien. Bafouillage sur la beauté, parfois exquise toujours éphémère…
Peu importe pour qui, ou encore pourquoi…
Incongrues spéculations sur des perspectives de vie… Vie entière à attendre qu’on remarque ce qui naît plutôt que ce qui est… S’attarder sur ce qui nous habite et passer outre sur ce qui l’abrite…
Que les rides tissent nos visages de cette peur de vieillir, que notre peau refuse de tenir le cou…
Que des proéminences poussent jusqu’à l’implosion du cœur de la vie… ou que d’autres se relâchent, fatiguées…
Si les gestes se raidissent, l’esprit s’assouplit. Le corps se blesse, la tête se redresse…
La couleur de la calotte se pâlit… parfois même la calotte disparaît, à jamais…
Mais une chose demeure toujours, c’est cet essentiel, l’essence même…
L’important, le caché, ce qui se devine ou s’étend sous nos yeux quand on le veut… Ce qui demeure et ne s’effrite jamais… L’absolu, l’insondable, l’incommensurable…
Ce qui nous habite de l’intérieur, ce qui fait que l’on rayonne, que l’on exhale un peu de ce bonheur inquiet et sauvage, celui que l’on doit apprivoiser, peu importe l’âge…
À vol d’oiseau rien n’y paraît. Il faut s’y poser pour réaliser…
La beauté n’est rien, rien de plus et c’est tout...
Nous avons discuté longuement, tout d’abord d’un tout et puis d’un rien. Bafouillage sur la beauté, parfois exquise toujours éphémère…
Peu importe pour qui, ou encore pourquoi…
Incongrues spéculations sur des perspectives de vie… Vie entière à attendre qu’on remarque ce qui naît plutôt que ce qui est… S’attarder sur ce qui nous habite et passer outre sur ce qui l’abrite…
Que les rides tissent nos visages de cette peur de vieillir, que notre peau refuse de tenir le cou…
Que des proéminences poussent jusqu’à l’implosion du cœur de la vie… ou que d’autres se relâchent, fatiguées…
Si les gestes se raidissent, l’esprit s’assouplit. Le corps se blesse, la tête se redresse…
La couleur de la calotte se pâlit… parfois même la calotte disparaît, à jamais…
Mais une chose demeure toujours, c’est cet essentiel, l’essence même…
L’important, le caché, ce qui se devine ou s’étend sous nos yeux quand on le veut… Ce qui demeure et ne s’effrite jamais… L’absolu, l’insondable, l’incommensurable…
Ce qui nous habite de l’intérieur, ce qui fait que l’on rayonne, que l’on exhale un peu de ce bonheur inquiet et sauvage, celui que l’on doit apprivoiser, peu importe l’âge…
À vol d’oiseau rien n’y paraît. Il faut s’y poser pour réaliser…
La beauté n’est rien, rien de plus et c’est tout...
Commentaires
J'aime beaucoup ta façon de parler de ce sujet et le commentaire de Petit train va loin est extrêmement pertinent aussi.