Je me sens comme un oiseau pris au piège, prisonnière d’un espace d’où je ne peux m’évader. Du moins, c’est ce que je crois…
Je tente de m’envoler vers d’autres ailleurs, mais sans cesse je me retrouve le bec contre le mur devant…
Lorsqu’un peu étourdie je redresse ma petite tête emplumée, j’envisage de prendre une autre direction, je tente le vol… Il dure quelques secondes à peine…
Bang! Me revoilà contre le mur…
Je vois bien cette lumière ensoleillée, là, derrière le carreau transparent… Pourquoi ne puis-je dénicher le petit espace qui me permettrait de retrouver ma liberté?
Paniquée, je m’agite… Je vole dans tous les sens pour engourdir mon mal de vivre. Je ne rencontre toujours que cette dure réalité, qui me frappe de plein fouet, avec une inlassable insistance…
Je ne sais si c’est à cause de toute cette adrénaline issue de mon horaire de vie effréné des derniers jours, mais alors que la nuit se tarit, je suis assise sur ce canapé de cuir, à ressasser d’éphémères souvenirs, qui me laissent faible et anéantie…
L’aurore se pigmente de l’horreur de l’insomnie… Je me bats contre ces incléments démons intérieurs…
Quelles sont ses tristes pensées, qui une fois de plus, embrument mon esprit, diluant ma joie d’être de retour parmi les miens?... Ne serait-ce pas encore cette solitude qui me taraude, malgré toutes ces démonstrations d’amitié?...
Oh mais attendez…
Que vois-je?... Une petite brèche…
Je m’élance… Ça y est, je crois que cette fois-ci c’est la bonne…
Je m’élève vers le soleil, portée par la brise… Si rien ne m’arrête, dans quelques heures je devrais être à...
.... Rouyn!
Je tente de m’envoler vers d’autres ailleurs, mais sans cesse je me retrouve le bec contre le mur devant…
Lorsqu’un peu étourdie je redresse ma petite tête emplumée, j’envisage de prendre une autre direction, je tente le vol… Il dure quelques secondes à peine…
Bang! Me revoilà contre le mur…
Je vois bien cette lumière ensoleillée, là, derrière le carreau transparent… Pourquoi ne puis-je dénicher le petit espace qui me permettrait de retrouver ma liberté?
Paniquée, je m’agite… Je vole dans tous les sens pour engourdir mon mal de vivre. Je ne rencontre toujours que cette dure réalité, qui me frappe de plein fouet, avec une inlassable insistance…
Je ne sais si c’est à cause de toute cette adrénaline issue de mon horaire de vie effréné des derniers jours, mais alors que la nuit se tarit, je suis assise sur ce canapé de cuir, à ressasser d’éphémères souvenirs, qui me laissent faible et anéantie…
L’aurore se pigmente de l’horreur de l’insomnie… Je me bats contre ces incléments démons intérieurs…
Quelles sont ses tristes pensées, qui une fois de plus, embrument mon esprit, diluant ma joie d’être de retour parmi les miens?... Ne serait-ce pas encore cette solitude qui me taraude, malgré toutes ces démonstrations d’amitié?...
Oh mais attendez…
Que vois-je?... Une petite brèche…
Je m’élance… Ça y est, je crois que cette fois-ci c’est la bonne…
Je m’élève vers le soleil, portée par la brise… Si rien ne m’arrête, dans quelques heures je devrais être à...
.... Rouyn!
Commentaires
Dans ma biblio, j'avais un bouquin jamais encore lu qui fait état de ces états.
On s'en reparle bientôt mon Ange.
Tu sais, la réalité fait parfois la vie dure à nos rêves.
xxx