… ma Bonne Amie G a porté à mon attention le mot « stoïcisme »…
Curieuse de nature, aussitôt que j’en ai eu la possibilité (c’est-à-dire à peine quelques secondes plus tard…), j’ai demandé à mon petit Robert ce qu’il pensait de ça…
C’est alors que j’appris l’existence d’un philosophe dénommé Zénon, dont la doctrine stipule que le « courage nous fait supporter la douleur, le malheur, les privations, avec les apparences de l’indifférence… »
Bon, ça c’est de Robert… euh, du Petit Robert… Mon ami virtuel lui, m’a soufflé que « Zénon de Citium est né en l’an 335 avant J.-C… »
Pour ce soir, je n’élaborerai pas plus. Après avoir parlé à mon Énigmatique Frérot qui est toujours hospitalisé, je dirais qu’il laisse filer les jours stoïquement…
Et je ne doute pas un seul instant, que lorsque ses yeux se tournent vers la fenêtre et qu’il y regarde le ciel ou les nuages, invariablement il doit rêver au moment où, enfin libre, il pourra déployer ses ailes et reprendre son vol…
En attendant je retiens que « cette philosophie de la volonté, est le véritable antidote au découragement et à la morosité… »
Je lui souhaite de « philosopher » tout son saoul…
Curieuse de nature, aussitôt que j’en ai eu la possibilité (c’est-à-dire à peine quelques secondes plus tard…), j’ai demandé à mon petit Robert ce qu’il pensait de ça…
C’est alors que j’appris l’existence d’un philosophe dénommé Zénon, dont la doctrine stipule que le « courage nous fait supporter la douleur, le malheur, les privations, avec les apparences de l’indifférence… »
Bon, ça c’est de Robert… euh, du Petit Robert… Mon ami virtuel lui, m’a soufflé que « Zénon de Citium est né en l’an 335 avant J.-C… »
Pour ce soir, je n’élaborerai pas plus. Après avoir parlé à mon Énigmatique Frérot qui est toujours hospitalisé, je dirais qu’il laisse filer les jours stoïquement…
Et je ne doute pas un seul instant, que lorsque ses yeux se tournent vers la fenêtre et qu’il y regarde le ciel ou les nuages, invariablement il doit rêver au moment où, enfin libre, il pourra déployer ses ailes et reprendre son vol…
En attendant je retiens que « cette philosophie de la volonté, est le véritable antidote au découragement et à la morosité… »
Je lui souhaite de « philosopher » tout son saoul…
Commentaires
Quand il m'a demandé si je sentais quelque chose, sans grimacer ni même sourciller, je lui ai répondu: oui, ça fait mal.
;O)