... à une table du Châto, une Rickard’s red devant moi…
J’ai avalé les kilomètres depuis St-Sauveur jusqu’à Vald’Or avec seulement trois minuscules arrêts, dont un au Lac Morin, dans le Parc La Vérendrye…
J’y ai foulé le sable de la plage désertée, me suis appuyée sur un tremble, immense, qui semblait vouloir toucher le ciel de ses branches… J’ai caressé sensuellement son écorce rugueuse du bout de mes doigts… J’ai offert mon visage au soleil pour qu’il réchauffe mon âme…
Puis j’ai mélangé tout ce qui me trottait dans la tête : ce que j’avais fait et ce qui me restait à faire… J’ai laissé l’empreinte de mon cœur sur le sable et j’ai souri en pensant qu’il était aussi fragile qu’une bouteille lancée à la mer…
Mais, je m’en fous…
Le tremble m’a prêtée quelques racines. Elles devraient m’aider à résister au vent et marées et me tenir debout, pour un autre petit bout…
Enfin je l’espère!
À Vald’Or, j’ai marché bras dessus bras dessous avec Papa Fitzsou (dites M. Sobieraj, vous permettez que je vous vole cette expression pour dénommer mon Père???...)
Son pas était vif, mais curieusement sa maison jouait à la cachette…
Vilaine maison!...
Maintenant, j’attends mon Grand. Nous allons partager le souper. Je me sens un peu fatiguée et l’heure me bouscule pour aller préparer un repas…
Je veux piquer du nez vers l’hôpital par la suite, y voir mon Énigmatique Frérot qui s’y trouve depuis lundi…
Vraiment une drôle de place pour prendre des vacances…
J’ai avalé les kilomètres depuis St-Sauveur jusqu’à Vald’Or avec seulement trois minuscules arrêts, dont un au Lac Morin, dans le Parc La Vérendrye…
J’y ai foulé le sable de la plage désertée, me suis appuyée sur un tremble, immense, qui semblait vouloir toucher le ciel de ses branches… J’ai caressé sensuellement son écorce rugueuse du bout de mes doigts… J’ai offert mon visage au soleil pour qu’il réchauffe mon âme…
Puis j’ai mélangé tout ce qui me trottait dans la tête : ce que j’avais fait et ce qui me restait à faire… J’ai laissé l’empreinte de mon cœur sur le sable et j’ai souri en pensant qu’il était aussi fragile qu’une bouteille lancée à la mer…
Mais, je m’en fous…
Le tremble m’a prêtée quelques racines. Elles devraient m’aider à résister au vent et marées et me tenir debout, pour un autre petit bout…
Enfin je l’espère!
À Vald’Or, j’ai marché bras dessus bras dessous avec Papa Fitzsou (dites M. Sobieraj, vous permettez que je vous vole cette expression pour dénommer mon Père???...)
Son pas était vif, mais curieusement sa maison jouait à la cachette…
Vilaine maison!...
Maintenant, j’attends mon Grand. Nous allons partager le souper. Je me sens un peu fatiguée et l’heure me bouscule pour aller préparer un repas…
Je veux piquer du nez vers l’hôpital par la suite, y voir mon Énigmatique Frérot qui s’y trouve depuis lundi…
Vraiment une drôle de place pour prendre des vacances…
Commentaires
Quel plaisir ce fut de voler de ton précieux temps. Merci d'avoir été complice de ce méfait!
Ah oui? Un voyage à Kuujjuaq? Cool! Mais euh... pour ça, faudra que tu le portes CHAQUE jour! Moi, je veux aller visiter Kuujjuaq!
Bonne fin de vacances!
Sally Fée
xxx
Bonne journée!
Tendre So xox
Pssst Plus jamais je ne douterai que c'en est une vrai ;o)
Tendre So: ma Bonne Fée est douée dans plus de domaines que tu ne peux l'imaginer...
M.Sobieraj: merci pour cette autorisation...