Comme
à tous-les-soirs-lorsque-sonne-19h, j’étais confortablement installée devant la
télé, prête pour la suite de l’intrigante série District 31,
produite par Luc Dionne.
19h30
–
Les
vingt-et-une minutes sont déjà choses du passé. En moi, flottent d’étranges
sensations mitigées: stupeur, colère, angoisse, incompréhension, peur, révolte.
J’ai l’impression de ne plus suivre l’intrigue principale. D’en avoir manqué un
bout.
Dans le silence de cette
grande maison qui m’accueille, je réfléchis. Jusqu’à remettre en question cet
amour loufoque que je voue à cette quotidienne depuis déjà presque trois
années.
Je
n’aime pas la tournure que ça prend. Vont-ils martyriser ou se débarrasser des
personnages les uns après les autres? Si ça se poursuit dans l’esprit de l’épisode
d’hier, j’abandonne, c’est certain. C’est bien trop pénible pour mon tendre ti-cœur…
Et M. Fecteau… m’essemble qu’il ne méritait pas un tel
traitement (faut dire que juste par le nom de famille, je me sens
interpellée…). Pis Stéphane
serait le prochain sur la liste??? Nenon… je l’aime bien moi Poupou…
Bon… J’ai le week-end pour
prendre une décision. Est-ce que mon addiction sera plus forte que ma raison?
Relisant ces lignes, je me
trouve presque pathétique de me laisser autant bouleverser par une série
télévisée. J’aurais juste à mettre le câline de bouton à off et à prendre un livre…
Ce
serait trop simple pour moi peut-être?...
Addenda :
Voulez-vous bien me dire comment je priorise mon Temps? Écrire ces lignes alors
que dehors, des monticules glacés attendent patiemment mes coups de pelle... encore
une sapristi de fois???... Même ma pelle boude...
Commentaires
Pas de tataouinnage.
Laissons la chance à de nouvelles victimes.
Histoire à suivre.
Fait indéniable: c'est une série québécoise drôlement bien ficelée!
Bon week-end!
En passant, "bonne Italie" si jamais j'oublie de vous appeler pour vous le souhaiter, ainsi qu'à votre Dame, de vive voix!!!
On se revoit dans un mois!