« … Qui
n’avait ja-ja-jamais navigué (bis)…Ohé,
ohé!...
… Il
entreprit un long voyage (bis)…
Sur la rivière-ère-ère jusqu’à La Motte(bis)… Ohé, ohé!...
… Au bout d’une
multitude d’années (bis)…
Les vivres vin-vin-vinrent à manquer (bis) … Dépanneur fermé!...
… On tira à
la courte paille (bis)…
Pour savoir c’qui-c’qui-c’qui serait sauvé (bis)… Ohé, ohé!…
… Le sort
tomba sur le lieu culte (bis)…
Ce fut ce qui-qui-qui fut restauré (bis)… Ohé, ohé!…
… On fit au ciel
plein de prières (bis)…
Espérant sau-sau-sauver le village (bis)… Dans-son-entier!…
… Au même instant,
branle-bas de combat (bis)…
Dans les rangs d’la-d’la-d’la
communauté (bis)…
Ohé, ohé!...
… Des petits talents
dans les chaumières (bis)…
Surgirent par-par-par plusieurs milliers (bis)… Ohé, ohé!...
… Ainsi le village
fut sauvé (bis)…
Depuis on ne-ne-ne cesse d’innover (bis)… Ohé, ohé!...
… Si ce billet
vous fait sourire (bis)…
Je vais vous le-le-le recommencer (bis)… Ohé, ohé!...
« Le
vaisseau brun », La Motte, janvier 2017
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