« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté. Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?... Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...
Commentaires
Quant à Joël Legendre, j'étais aussi très loin des médias pendant cette période, j'ai fait du rattrapage depuis en me disant qu'il ne devait pas y avoir grand chose de croustillant à se mettre sous la dent pour les journalistes parce qu'ils ont fabriqué toute une histoire avec ce qui était quelque chose de privé qui aurait dû se gérer dans sa vie personnellement, pas devenir un scandale qui détruit une famille, une carrière, etc.
Quand il n'y a pas de victime, est-ce qu'on peut considérer qu'il y a eu crime?
De sentir cet appui, mettra peut-être un peu de baume sur sa blessure béante...
D'un tout autre ordre d'idée, l'histoire de M.Legendre est aussi une perte pour lui. Dommage qu'on en soit rendu là pour connaître un instant de gloire (je parle de la journaliste)...