Dans la quiétude d’un mercredi matin, à l’heure d’un crépuscule à peine sorti de sa béatitude nocturne, j’eus un court et curieux échange avec un partenaire de travail demeurant dans un village Nordique, situé à plus de deux mille kilomètres de Montréal.
Sujet : « … erreur de jeunesse… erreur de vie… »
Voyant les lettres s’étaler sous mes yeux, viscéralement monta du plus profond de moi : « Ne parlez pas d’erreur, parlez plutôt d'une occasion d’apprendre, de grandir… »
Dieu du Ciel! Quelque peu abasourdie par Moi-même, d’avoir osé répondre ça, je fermai les yeux un court instant et espérai que cette boutade lancée dans l’espace inter-Nunavimiut, atterrisse en bonne et due forme, à destination, sans interception…
Sans mauvaise interprétation…
Ces mots m’ont ramenée à l’essentiel de voir toute expérience passée, comme une leçon de vie. Peu importe…
… Je sais, c’est moi qui ose dire ça… Maintenant… Oui, j’ose…
Parce que jaillis spontanément, ils ont éveillé en moi un « il n’y a pas si longtemps », où je disais aussi, avoir commis quelques grossières erreurs de vie…
… et il est grand temps que j’admette que c’est faux, et qu’il est vrai (!) que j’émerge de ce « il n’y a pas si longtemps », disons, aguerrie…
Sujet : « … erreur de jeunesse… erreur de vie… »
Voyant les lettres s’étaler sous mes yeux, viscéralement monta du plus profond de moi : « Ne parlez pas d’erreur, parlez plutôt d'une occasion d’apprendre, de grandir… »
Dieu du Ciel! Quelque peu abasourdie par Moi-même, d’avoir osé répondre ça, je fermai les yeux un court instant et espérai que cette boutade lancée dans l’espace inter-Nunavimiut, atterrisse en bonne et due forme, à destination, sans interception…
Sans mauvaise interprétation…
Ces mots m’ont ramenée à l’essentiel de voir toute expérience passée, comme une leçon de vie. Peu importe…
… Je sais, c’est moi qui ose dire ça… Maintenant… Oui, j’ose…
Parce que jaillis spontanément, ils ont éveillé en moi un « il n’y a pas si longtemps », où je disais aussi, avoir commis quelques grossières erreurs de vie…
… et il est grand temps que j’admette que c’est faux, et qu’il est vrai (!) que j’émerge de ce « il n’y a pas si longtemps », disons, aguerrie…
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