Passer au contenu principal

J'ai lu un jour...



… chez Nanou la Terre (2010-05-16), ce proverbe, écrit par un Dominique…

« Il y a deux choses que l’on peut léguer à ses enfants : des racines et des ailes… »

… J’aime beaucoup…

… sans aucun autre commentaire…

Bon dimanche!...

Commentaires

Le factotum a dit…
Quel bel héritage ...

Que demander de plus ...
Les chanceux ...

C'est l'apanage d'un ange-aérien.

Bonne journée.
Anonyme a dit…
Des racines et des ailes...
Rien à voir, mais la lecture de ces mots m'a immédiatement rappelé le titre du roman de Romain Gary qui lui valut le prix Goncourt en 1956 "Les racines du ciel".
Dans le livre, les éléphants symbolisaient l'humanité en péril...
M.Le Factotum: merci et bonne journée à vous aussi.
M.Sobieraj:au contraire ça a tout à voir... les même racines... et les ailes, à quoi peuvent-elles servir si ce n'est que pour aller dans le ciel?... Bonne journée!

Messages les plus consultés de ce blogue

La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier