… on a peine à croire que de telles coïncidences puissent réellement exister…
Prenez par exemple, la fois…
« … Nous étions le lendemain de Noël. Le soleil s’étant levé tôt, m’intimait l’ordre de sortir. Ce que j’avais prévu faire, mais un peu plus tard dans la journée.
Avant je devais…
Dans la maison régnait un silence aussi léger qu’une plume, le genre éthéré, nous transportant dans un autre Univers, celui de l’Infini bonheur, celui où on a le goût de dire « merci », tout simplement, sans savoir trop à Qui ni pourquoi…
La veille avait été remplie d’attendrissements, fils ténus entre la béatitude et l’abandon… Et comme à tous les ans, depuis les 53 derniers, le temps avait roulé un chiffre sur moi…
Mais moi, j’en avais fait fi… Occupée que j’étais à baigner dans l’amitié, rien d’autre n’aurait pu m’atteindre…
De toute façon, avec tout l’ouvrage que m’avaient donné mes Amies(s)… je n’aurais rien pu faire de plus.
Lorsque j’allai au lit ce même soir, il m’en restait un à ouvrir… Un dernier… Je n’avais pu joindre la donatrice, alors sagement, j’avais laissé le paquet posé sur le guéridon.
C’est ça que je devais faire en ce lendemain de Noël…
… et c’est (entre autres…), ce que j’y ai trouvé… »
Avouez que c’est « toute qu’un adon »!
(si vous cliquez sur la photo, vous pourrez lire l'inscription sur la tasse...)
Commentaires
Je vous l'avais dit que vous ne réussiriez pas à tous les ouvrir le 24.
Elle est aimée la dame au Nord du Nord.
Bonne soirée.
M.Le Factotum: je devrais faire ici un "erratum"... et nous aurions dû lire "... que m'avaient donné mes Amies (s)..."
Mille excuses!