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Histoire de RIEN...(suite)

Drôle de billet, que cette histoire de RIEN… Comme si le temps passé à attendre, parfois s’envolait sans que l’on s’en rende vraiment compte…

… Hier soir, j’écoutais les cérémonies d’ouverture de la coupe du monde de la FIFA 2010… Les commentateurs taquinaient les Africains, disant qu’ils étaient toujours en retard…

À un moment, l’un d’eux sorti cet adage :

« En Afrique, nous n’avons pas de montre mais nous avons le temps ; en Occident, vous avez des montres mais vous n’avez pas de temps… »

Bien dit quand même, avouez?...

Toujours hier soir… minuit. Je me surprends à manger de l’Arctic Char fumé (Omble de l’Arctique) comme collation… Est-ce signe d’intégration ? D’assimilation ?...

Je me dis qu’un ange doit pouvoir s’adapter à tout ou presque… enfin, c’est ce que je crois… sincèrement…

( …cependant après quelques morceaux, le cœur s’est mis à me flotter… Heure tardive? Texture? Couleur? Odeur??? Allez savoir!...)

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

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