Au rythme où je mène ma vie, cinq années ne suffiront pas pour m’installer dans ce minuscule 3 ½!... En 2014, les cadres orneront toujours le bas des murs (!), les livres dormiront encore bien à plat sur leur dos, les papiers se seront accumulés, pêles-mêle, les uns sur les autres...
Fainéantise et oisiveté semblent m’enserrer dans leurs tentacules... Prisonnière, j’abdique sans résistance...
Reddition? Besoin d’abandon?...
Je me laisse porter par le vent, comme voile léger échappé d’un ballot...
Je me laisse porter par le temps, assurément...
Peu de travail j’ai abattu en ce beau samedi, nuageux mais doux. Lorsque fourbue, j’abandonnai le tri des nombreux papiers disséminés ici et là, je décrétai une pause obligatoire d’activité physique.
Je me vêtis comme s’il faisait - 40 (!), et sortis marcher sur les abords de la Koksoak, rivière à marée d’eau douce-salée... J’errai dans le plus vieux quartier de Kuujjuaq, le pas rapide, l’oeil aux aguets...
Puis je pris la route vers l’aéroport. J’atteignis en 10 minutes le bel aérogare. J’ai regardé quelques énormes appareils décoller; j’ai fureté dans la boutique d’articles souvenir... Des enfants jouaient dans la salle d’attente, bottes aux pieds... Ça m’a rappelé de bons souvenirs, ceux du temps où la Base ouvrait ses portes aux motoneigistes... Et aux enfants!
Au retour, j’entrai dans le petit immeuble que l’on désigne sous le nom de « Tivi Galleries » sur Airport Rd. Artisanat local et commercial du sud, j’essayai de repérer quelques attraits pour mes nombreux « amours »...
Ma sortie s’étira sur une heure trente... J’aurais pu prendre un tas de photos de cette errance...
... mais les batteries de ma caméra s’obstinent à demeurer déchargées...
Zut!...
Fainéantise et oisiveté semblent m’enserrer dans leurs tentacules... Prisonnière, j’abdique sans résistance...
Reddition? Besoin d’abandon?...
Je me laisse porter par le vent, comme voile léger échappé d’un ballot...
Je me laisse porter par le temps, assurément...
Peu de travail j’ai abattu en ce beau samedi, nuageux mais doux. Lorsque fourbue, j’abandonnai le tri des nombreux papiers disséminés ici et là, je décrétai une pause obligatoire d’activité physique.
Je me vêtis comme s’il faisait - 40 (!), et sortis marcher sur les abords de la Koksoak, rivière à marée d’eau douce-salée... J’errai dans le plus vieux quartier de Kuujjuaq, le pas rapide, l’oeil aux aguets...
Puis je pris la route vers l’aéroport. J’atteignis en 10 minutes le bel aérogare. J’ai regardé quelques énormes appareils décoller; j’ai fureté dans la boutique d’articles souvenir... Des enfants jouaient dans la salle d’attente, bottes aux pieds... Ça m’a rappelé de bons souvenirs, ceux du temps où la Base ouvrait ses portes aux motoneigistes... Et aux enfants!
Au retour, j’entrai dans le petit immeuble que l’on désigne sous le nom de « Tivi Galleries » sur Airport Rd. Artisanat local et commercial du sud, j’essayai de repérer quelques attraits pour mes nombreux « amours »...
Ma sortie s’étira sur une heure trente... J’aurais pu prendre un tas de photos de cette errance...
... mais les batteries de ma caméra s’obstinent à demeurer déchargées...
Zut!...
Commentaires
Quant aux piles de ta caméra, désolée de t'apprendre une cruelle vérité... les piles rechargeables, après avoir été rechargées à quelques reprises, tombent à plat rapidement et parfois même lorsqu'elles attendent sagement dans un tiroir. Hé oui, mon Ange, ainsi va la vie... Rien n'est éternel.
Alors va vite te procurer de nouvelles piles que je découvre enfin ton quotidien!
:O)
... mais j'ai découvert un tas de piles "neuves", alkaline de plus...
Devines encore ce que je te prépare?...