Je me considère vraiiiimennnnt
privilégiée d’être si bien « encerclée » d’amis de toutes professions
et de tous acabits… Les expériences des uns renforcent celles des autres et
vice-versa.
À mes yeux, je possède la
plus grande richesse au monde… Chanceuse que je suis!
De tous ces gens faisant
intimement parti de mon entourage, se trouve un couple d’amoureux de la nature.
Lui est un agent de la faune « au-Temps-retrouvé », elle, prend
plaisir (quand elle n’est pas à travailler après de multiples autres
projets)
à former de futurs Liszt, Chopin, Rubinstein…
Dans l’ordre ou dans le
désordre…
À force de les côtoyer, j’ai
fini par les soudoyer (au sens figuré) suffisamment pour
qu’ils me livrent leur recette secrète pour venir à bout de l’invasion de
souris qui perturbent mes virées boréales.
Le concept est simple :
une chaudière, une canette vide, un bout de broche, du liquide (lave-vitre
ou eau de javel pour contrôler les odeurs), une montée et… du beurre
d’arachides.
Théoriquement, la souris
attirée par l’odeur, doit s’aventurer sur la montée et tenter d’atteindre la
généreuse portion qui devrait se dérouler… sous ses pas…
(Mon
Dieu!... En écrivant ces lignes, je prends conscience de ce que je fais… Pardon
à toutes les souris du P’tit Nord qui osent s’infiltrer sans invitation dans
les camps plutôt que de se trouver un abri dans la nature comme il se devrait…
Parce
que je dois l’avouer : je ne chasse pas les souris dans le but de me
sustenter…)
« À
la chasse comme à la chasse… », Amos et P’tit Nord, septembre 2015
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