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Yé! (et Nya-Nya!…)



Commençons par juste le « ! ». Câline que ça fait du bien de prononcer 
« JUIN »! 
Câline que ça sonne « SOLEIL »,« VÉLO », « CLARTÉ », « MOUSTIQUES »

 :-(   …
 
Ben non, ben non! Ça sonne « BON », ça sonne « CHAUD », ça sonne 
« ÉTÉ»!!! Positive, je suis positive, nonobstant le fait que… 

Je veux y croire Moi, que ça s’en vient, même ici, au Nunavik. Je veux y croire Moi, au beau temps, aux feux de camp. D’ailleurs mon nouveau P’tit Grand Voisin verra à nous organiser un beau p’tit coin pour ce faire. Je suis certaine que c’est cet été que ma vie va changer : retrouver l’odeur de boucane, rentrer à la nuit tombée  sous les lueurs d’aurores boréales chancelantes d’avoir trop ri (ou trop bu?)... 

Re-ben non, re-ben non voyons! Ici, les aurores sont aussi sobres que le vin peut être bon. Sérieux là!...

Mais aussi…
« Nya-Nya!... » parce que j’étais partie sniquer à Puvirnituq depuis mercredi. Est-ce que cela a paru? Non… J’y ai vu…
... Quand on s’occupe de ses affaires, tout baigne… 
photo: "Lueur de Rangers à l'horizon", Puvirnituq, 30 mai 2013 


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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier