J’étais entourée de fleurs : sur le délicat imprimé de la causeuse et du divan, sur la petite table à café couverte de carreaux de céramique blanche zébrée de longues tiges olive, sur la tasse et soucoupe de porcelaine blanche avec découpe de roses rose…
Ça me faisait un p’tit velours d’être assise ici, à écouter le tic-tac de la sobre horloge murale affichant élégamment ses chiffres romains et celui du roulement des voitures de la rue d’en face. P’tit velours aussi d’apercevoir par l’immense porte fenêtrée, les trois cyprès s’élancer vers l’azur dans une course imaginaire. J’en avais tant rêvé…
Je prends le temps et l’espace nécessaire pour vous décrire avec quels soucis du détail et quel goût, l’appartement que nous habitons a été aménagé. Dans le grand espace vivoir, l’ameublement est confortable et offre même un divan lit au cas où l’une de nous l’aurait préféré à l’immense lit au chevet de bois, drapé d’un édredon tout blanc. Partout règne cette atmosphère d’espace et de confort. Le carrelage de céramique nous donne l’effet d’être bien ancré en terre Toscane, le cactus et la plante verte, les portes aux vitraux affichant d’appétissants bols de fruits ou encore celles monarchiques, à carreaux ivoire et vert tendre donne l’impression d’avoir atterri dans une riche demeure aux allures anciennes et modernes tout à la fois. Même la salle d’eau est somptueuse, tout de blanc habillée…
Voilà avec ça, vous y serez un peu vous aussi. Je vous laisse les coordonnées : http://www.iglicini.org/
On ne sait jamais peut-être certain de mes amis Français voudront aller y faire un tour après tout. Pour eux ce ne serait pas si loin, n’est-ce pas M.Sobieraj?
ps un bon matin, j’ai failli mettre le feu par mégarde aux longs rideaux vert pomme : j’avais placé le grille-pain par terre, par manque d'espace et sans trop réfléchir… Merci à Celui ou Celle qui m’a fait réaliser mon étourderie à temps et surtout… chut… pas un mot à ma Douceur ma Belle…
Addendum : nous avons visité ce jour, Barberino, y accédant par un sentier de pavés. Paysages magnifiques et on a enfin identifié les oliviers par centaines dans l’oliveraie…
Évidemment…
Commentaires
Et tu es encore sur la trotte... Il faudra me dire quand je pourrai te joindre au téléphone.
M.Le Factotum: n'allez surtout pas lui dire!...